Special Friend, tout feu, tout flamme !

Le second elpee du duo Special Friend, « Wait Until The Flames Come Rushing In », paraîtra le 30 juin 2023. En attendant, il nous propose son nouveau single, « Selkie », une ballade toute en nuances et en retenue, chantée en duo par Erica Ashleson et…

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Le café au lait salé des Sparks…

Les Sparks ont dévoilé « Veronica Lake », le deuxième titre de leur 26ème album studio très attendu, « The Girl Is Crying In Her Latte », qui sortira le vendredi 26 mai. Ce récit musical de l'actrice de cinéma américaine Veronica Lake et de sa coiffure…

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samedi, 27 octobre 2007 20:48

Jeff Bodart : et parfois c'est comme ça…

La sortie du nouvel album de Jeff Bodart était prévue pour le 8 octobre. Elle est postposée au 7 janvier 2008. Néanmoins, son nouveau single, « L’oiseau de 7h32 », sera dans les bacs le 28 octobre. L’elpee s’intitulera "Et parfois c'est comme ça" ; c’est le cas de le dire… Il se produira le 14 février au Botanique de Bruxelles.

Tracklisting :

01. Et Parfois C'est Comme Ça  

02. L'oiseau De 7h 32  

03. Demain Matin  

04. Destination Ultramarine  

05. Une Chambre Modern Style  

06. Jacques  

07. Ma Carcasse  

08. 36 Manières  

09. Embrasse-Moi  

10. Je Ris  

11. De Quoi J'ai L'air  

12. Notre Trajectoire  

13. Fou Sans Toi

 

Pour plus d’infos : http://www.jeffbodart.net

 

 

 

 

samedi, 27 octobre 2007 10:40

Soulwax : la plupart de ses remixes…

Un double cd contenant des remixes de Daft Punk, LCD Soundsystem, Kylie Minogue, Robbie Williams, Justice, etc. et d’un mix inédit de 2 Many DJ’s est dans las bacs depuis le 22 octobre. Il s’intitule « Most of the remixes ». Les frères Dewaele ont encore frappé…

Tracklisting

Cd 1

The Gossip ­ Standing in the way of control (Soulwax nite version)

Lcd Soundsystem ­ Daft Punk is playing in my house (Soulwax shibuya mix)

Human Resource vs 808 State ­ Cubique (Soulwax edit)

Klaxons ­ Gravity’s rainbow (Soulwax remix)

Dj Shadow ­ 8 days (Soulwax remix)

Justice ­ Phantom pt2 (Soulwax nite version)

Kylie ­ Cant get you out of my head (Soulwax rock version)

Gorillaz ­ Dare (Soulwax remix)

Robbie Williams ­ Lovelight (Soulwax ravelight mix)

Arthur Argent ­ Hold your head up (Soulwax remix)

Lords of Acid ­ I sit on acid (Soulwax remix)

Daft Punk ­ Robot rock (Soulwax remix)

Sugababes ­ Round round (Soulwax remix)

Muse ­ Muscle museum (Soulwax remix)

 
Cd2 (comporte un mix des titres du cd 1 et des raretés)

Wes Phillips ­ I’m just a sucka for a pretty face (Soulwax remix)

Tiga ­ Move my body (original version)

Playgroup ­ Make it happen (Soulwax remix)

Felix Da Housecat ­ Rocket ride (Soulwax rock it right mix)

Ladytron ­ Seventeen (Soulwax remix)

Hot Chip ­ Ready for the floor (Soulwax dub)

 

Pour plus d’infos : http://www.soulwax.com

 

 

samedi, 27 octobre 2007 10:38

La réalité selon Jill Scott…

Le 12 novembre prochain, paraîtra le cinquième opus de Jill Scott. Il s’intitulera « The Real Thing - Words & Sounds vol.3 ». Une édition limitée sera également disponible. Elle inclut un concert exclusif du DVD « Jill Scott : Live In Paris » et les clips des singles, « Hate On Me » et « My Love ». La diva se produira le 27 novembre au Cirque Royal de Bruxelles.

Tracklisting

1. Let It Be 

2. The Real Thing

3. Hate On Me 

4. Come See Me 

5. Crown Royal 

6. Ephiphany 

7. My Love 

8. Insomnia 

9. How It Make You Feel 

10. Only You 

11. Whenever You're Around 

12. Celibacy Blues 

13. All I 

14. Wanna Be Loved 

15. Breathe

 

Pour plus d’infos : http://jillscott.com

 

 

samedi, 27 octobre 2007 10:38

Robert Plant et Alison Krauss en duo

Robert Plant et Alison Krauss ont uni leurs efforts pour enregistrer un album. Intitulé « Raising sand », il est dans les bacs depuis le 19 octobre. Il reprend entre autres, des compos signées The Everly Brothers, Mel Tillis, Tom Waits, Townes Van Zandt, Gene Clark ou encore Sam Phillips. T-Bone Burnett, Krauss et Plant se partagent la production. Le tandem a notamment reçu le concours de Marc Ribot et Norman Blake, du multi-instrumentiste Mike Seeger, du batteur Jay Bellerose et du bassiste Dennis Crouch, lors des sessions d’enregistrement.

Tracklisting

1. Rich Woman (Dorothy LaBostrie-McKinley Millet) 

2. Killing the Blues (Rowland Salley) 

3. Sister Rosetta Goes Before Us (Sam Phillips) 

4. Polly Come Home (Gene Clark) 

5. Gone, Gone, Gone (Done Moved On) (Phil and Don Everly) 

6. Through the Morning, Through the Night (Gene Clark) 

7. Please Read The Letter (Robert Plant-Michael Lee-Jimmy Page-Charlie Jones) 

8. Trampled Rose (Tom Waits-Kathleen Brennan) 

9. Fortune Teller (Naomi Neville) 

10. Stick With Me Baby (Mel Tillis) 

11. Nothin' (Townes Van Zandt) 

12. Let Your Loss Be Your Lesson (Milt Campbell) 

13. Your Long Journey (A.D. Watson and Rosa Lee Watson) 

 

Pour plus d’infos : http://www.robertplant.com et http://www.alisonkrauss.com/site.php

 

 

 

 

samedi, 27 octobre 2007 10:38

Une expérience live pour Beyoncé

Un DVD consacré à Beyoncé paraîtra le 19 novembre. Il immortalise essentiellement le set accordé le 2 septembre au Staples Center dernier à L.A., au cours duquel Jay-Z, Kelly et DC3 l’ont rejointe sur les planches. Il s’intitulera "The Beyoncé Experience LIVE!".

Tracklisting

"The Beyoncé Experience Live!" - tracklisting

1. Intro (The Beyoncé Experience Fanfare)

2. Crazy in Love (Crazy Mix)

3. Freakum Dress

4. Greenlight

5. Baby Boy (Reggae Medley)

6. Beautiful Liar

7. Naughty Girl

8. Me Myself and I

9. Dangerously In Love (He Loves Me Mix)

10. Flaws and All

11. DC Medley (Cops and Robbers Intro)

12. Independent Woman

13. No No No Pt. 2

14. Bootylicious

15. Bug A Boo (H-town Screwed Down Mix)

16. Bills Bills Bills

17. Cater 2 U

18. Say My Name

19. Jumpin Jumpin

20. Soldier (Soldier Boy Crank Mix)

21. Survivor (Destiny's Child Reunion)

22. Speechless

23. Ring the Alarm Intro Skit (Jailhouse Confessions)

24. Ring the Alarm

25. Suga Mamma

26. Upgrade U (feat. Jay Z)

27. Bonnie and Clyde ’03 (Beyoncé’s Prince Mix)

28. Check on It (Special Tour Ver.)

29. Deja Vu

30. Get Me Bodied

31. Welcome to Hollywood

32. Deena/DreamGirls

33. Listen

34. Irreplaceable

35. Beyoncé B'Day Surprise

 

Pour plus d’infos : http://www.beyonceonline.com

 

 

vendredi, 26 octobre 2007 23:42

Mattafix : report de date

Le nouvel opus de Mattafix, dont la sortie était prévue pour le 12 novembre, paraîtra le 19 novembre. Intitulé « Rhythm & hymns », il s’agit de leur second elpee. « Living » constitue leur premier single issu de cet album. Vendu par Oxfam, il reflète la situation au Darfur.

Découvrez la vidéo de « Living » (Darfur) : http://www.youtube.com/watch?v=JJtvNHPWUO8

 

Pour plus d’infos : http://www.mattafix.com

 

mardi, 23 octobre 2007 22:42

Comicopera

Pour enregistrer son douzième opus solo, Robert Wyatt a reçu la collaboration de quelques pointures et notamment Brian Eno, Paul Weller et Phil Manzanera. Sans oublier son épouse Alfie Benge, qui se réserve également les lyrics de plusieurs plages. Et puis du saxophoniste Gilad Atzmon, la tromboniste Annie Whitehead ainsi que le violoncelliste Aaron Stavi. Un album que Bob a produit et dont les sessions d’enregistrement se sont déroulées chez lui à Louth, mais également dans les studios Gallery de l’ex-guitariste de Roxy Music.

Vu la liste des invités, on se doute que Wyatt en est revenu à une forme plus prog. Prog jazz atmosphérique, bien évidemment ; et la structure de cet opus, découpé en trois actes, rappelle inévitablement la forme du concept album. Trois parties sous-titrées « Lost in noise », « The here an the now » et « Away with the fairies ». La première se révèle plus classique pour Waytt, dans l’esprit de « Rock Bottom » et de « Ruth is stranger than Richard », même si les cuivres sont beaucoup plus présents, Robert jouant de plus en plus de la trompette. La poésie y est davantage mise en évidence, également. Celle de son épouse, bien sûr. Wyatt y reprend également le « Stay tuned » d’Anja Garbarek. Un morceau remarquable d’intimisme et de profondeur qui baigne dans un climat mélancolique, presque sinistre. Et les quatre autres titres de ce premier acte sont de la même trempe. La voix de l’ex-Soft Machine, parfois rejointe par celle d’une invitée (Karen Mantler ? Monica Vasconcelos ?), épousant très souvent l’instrumentation éthérée, intense, très cuivrée, sculptée dans le soft jazz.

La deuxième est partagée entre expérimentation sonore et textes à l’engagement spirituel, politique ou social. Wyatt y condamne l’intervention en Irak sur l’intense « Out of the blue », un fragment électro-psychédélique au cours duquel la voix de Brian Eno est particulièrement triturée. Il enveloppe sa rage dans l’introspectif et faussement allègre « A beautiful war » et blâme l’incompétence du gouvernement britannique en matière d’urbanisme sur « A beautiful peace ». Mais nous propose aussi un concert de casseroles à résonnance cubaine sur l’insolite « On the town square » ou encore trempe « Serious », dont le swing très excitant est entretenu par Paul Weller, invité à bien syncoper ses accords de guitare. Reste « Mob rule » » qui s’inscrit davantage dans l’esprit du premier volet.

Pour la troisième partie, il a décidé de ne plus chanter dans la langue de Shakespeare. C’est sa manière de contester l’omnipotence de certains de ses compatriotes. Passons sous silence l’anecdotique « Pastafari », recherche pure sur les sonorités d’un vibraphone, et la minute trente-huit de « Fragment », dont une bonne moitié est consacrée au passage d’une bande à l’envers (NDR : à une certaine époque, cette forme d’avant-gardisme était à la mode), pour épingler « Cancion de Julieta », une plage envoûtante, énigmatique, hypnotique de 7’30, chantée en espagnol. Et sur un poème de Garcia Lorca. Le solennel (ces arrangements de cordes pincés et cet orgue d’église !) et bouleversant « Del mondo », chanté en italien. Et le final « Hasta siempre comandante », dont le climat jazz atmosphérique est tourmenté par des accès répétés de rythmes cubains, avant de succomber au charme de ces percus latino.

A 62 balais Wyatt est toujours aussi intrigant, touchant, amusant, audacieux et provocateur. Et il n’est pas prêt de retourner sa veste. « Comicopera » en est, une nouvelle fois, une belle démonstration.

mardi, 23 octobre 2007 22:38

Magic

Cinq ans que l’E Street Band n’avait plus enregistré en compagnie du boss. Aussi on pouvait s’attendre à un album très rock et énergique comme seul Springsteen est capable de nous fourguer. Ce n’est pas tout à fait ce qu’il nous a concocté. En fait, passé le premier titre, « Radio nowhere », plutôt enlevé et bien cadencé, l’opus fait la part belle à la pop mélodique hyper léchée. S’il n’y avait l’instrumentation luxuriante et les accès de saxophone, plusieurs compos auraient même pu figurer au répertoire de REM. On a même droit à des arrangements de cordes fastueux sur l’apaisant « Your own worst enemy » et à une chanson réminiscente du New Mersey Sound. Celui d’Icicle Works, très exactement, sur « Girls in their summer clothes » ; Bruce empruntant même les inflexions de Ian McNabb. Surprenant ! Heureusement, le reste de l’opus redresse la barque. Tout d’abord « Gypsy biker » et « Long walk home », deux plages sculptées dans un rock bien carré et hymnique ; voire « Last to die », malgré les arrangements symphoniques assez envahissants. Parcouru par un harmonica et élégamment balayé par une section de cordes, « I’ll work for your love » mêle habilement instrumentation électrique et acoustique. Une très belle chanson aux accents dylanesques. Tout comme le titre maître, une ballade émouvante privilégiant guitare sèche, mandoline et violon. Ainsi qu’un bonus track, au cours duquel Springsteen se fend d’un titre folk épuré, limité à la voix, au piano et à la sèche. Le spectre du Zim n’est pas loin. A moins que ce ne soit celui de Pete Seeger. Il ne faut pas oublier que l’an dernier, Bruce avait consacré l’intégralité d’un album à des reprises de l’activiste new-yorkais. Et aussi bien Bob que Bruce vouent une grande admiration à Seeger, tout en demeurant très engagés dans les domaines écologique, sociologique et politique. « Magic » n’échappe pas à la règle et notamment le bouleversant « Devil’s arcade ». Bruce dit tout le bien qu’il pense des pertes subies par les Etats-Unis en Irak. Construit en crescendo, ce morceau imprimé sur un tempo new wave oscille entre minimalisme et maximalisme. Bref, à 58 ans le boss a encore de beaux restes. Mais à mon humble, avis en choisissant Brendan O’Brien (Pearl Jam, Aerosmith, Red Hot) pour le produire, il n’a pas fait le bon choix.

I-tunes:

http://phobos.apple.com/WebObjects/MZStore.woa/wa/viewAlbum?id=263087969&s=143446

MSN-music:

http://sib1.od2.com/common/product/Product.aspx?shop=40&associd=5&catno=OD2DI6208931

 

 

 

lundi, 31 décembre 2001 01:00

How I long to feel that summer in my heart

Les douze titres qui figurent sur le 7ème album studio de cet ensemble gallois ont été enregistrés à la même époque que ceux du superbe mini elpee, " The blue trees ". Pastorale, rafraîchissante, mais beaucoup moins minimaliste que sur ce précédent opus, la musique des Gorky's explore, encore et toujours, la nature douce-amère de la nostalgie. La différence majeure entre les deux œuvres procède des arrangements. Toujours aussi soignés, n'ayez crainte. Mais beaucoup plus riches, ils flirtent parfois avec le symphonisme ou le jazz cuivré. Cependant, la formation opère cette mise en forme avec tellement de subtilité, qu'on a parfois l'impression que leur matière grise est déchirée entre le psychédélisme sinusoïdal des Fab Four, alors sous l'influence de " Lucy in the sky with diamonds ", et le folk de Stackridge (NDR : un ensemble né au cours de seventies, réputé pour son style à la fois pastoral, médiéval et humoristique). Plusieurs titres de cet elpee épousent cependant une forme plus pop, plus contagieuse. Et la présence de Norman Blake ainsi que de Teflon Monkey des Fannies, n'y est pas étrangère. Bref, empreint de délicatesse, de quiétude et de mélancolie douce, " How I long to feel that summer in my heart " nous entraîne au fond d'un jardin secret. Un espace magique peuplé de fées qui nous envoûtent de leurs charmes…

 

 

 

 

mardi, 23 octobre 2007 22:17

Eleven continents

“Eleven continents” constitue le premier opus né de la rencontre entre Ryan Francesconi et Lili De La Mora. Le premier cité est un musicien réputé dans le domaine de l’électronique. En quatre années, il a réalisé trois elpees. La seconde est chanteuse. Elle milite au sein de The Year Zero, une formation californienne. De Los Angeles, très exactement. Elle possède une superbe voix. Délicate, douce, éthérée, angélique et sensuelle. Proche d’une Miki Berenyi. Le second a mis ses laptops et ses synthés au placard. Il s’est concentré sur la basse, le piano Rhodes et la guitare. Acoustique surtout. Il la joue en picking. Le duo a reçu le concours de quelques collaborateurs. Joanna Newsom, tout d’abord. A la harpe. La chanteuse Fabiola Sanchez, ensuite. Dont le timbre est aussi fragile que celui de Lili. Curieux, parce qu’au sein de Familiar Trees, c’est Ken Negrete qui se charge des vocaux. Il est aussi de la partie. Au piano. Les autres guests se partageant violoncelle, trompette, flûte, alto et percussions.

Les arrangements sont complexes. Les compos introspectives, visionnaires et élégiaques. Comme si une brise rafraîchissante balayait avec grâce, sensibilité et élégance les douze fragments de cette œuvre aux tonalités chatoyantes et argentines. « Eleven continents » devrait plaire aux mélomanes qui ne jurent que par Cocteau Twins, Hammock, The Innocence Mission et bien sûr les Familiar Trees.