Les textes candides mais positifs de Sea Girls…

Ce quatuor londonien –composé de Henry Camamile (chant, guitare), Rory Young (guitare), Andrew Dawson (basse) et Oli Khan (batterie)– s'impose par sa franchise rafraîchissante, ses mélodies accrocheuses et des paroles candides et positives. En outre, Sea…

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L’humanisme angoissant de Franz Ferdinand…

Franz Ferdinand sortira son nouvel opus studio, « The Human Fear », ce vendredi 10 janvier 2025. Enregistrées aux studios AYR en Écosse, les 11 chansons de « The Human Fear » font allusion à des peurs humaines profondément ancrées et qu’en les surmontant et…

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Alice Cooper - Bospop 202...
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Bernard Dagnies

Bernard Dagnies

vendredi, 01 février 2008 12:39

Correcto : un nouveau super groupe écossais !

Déjà annoncé comme le futur super groupe, Correcto implique au sein de son line up, l’ex drummer de Franz Ferdinand, Paul Thomson, ainsi que l’ancien The Royal We, Patrick Doyle à la basse. Fameuse section rythmique. Le groupe a été fondé par le chanteur Danny Saunders et implique également le guitariste Richard Wright. Intitulé « Art punk brilance », l’album sera dans les bacs le 25 février 2008. 

Tracklisting :

1 – Inuit                                            

2 – Do It Better                                            

3 – Joni                                              

4 – Save Your Sorrow

5 – Walking To Town

6 – No One Under 30

7 – Here It Comes

8 – Downs

9 – Even Though

10 – New Capitals

11 – Something Or Nothing

12 – When You Get Away From Me

 

Pour plus d’infos : http://www.myspace.com/correcto et http://www.dominorecordco.com

 

 

 

 

Isobel Campbell et Mark Lanegan se sont à nouveau réunis pour enregistrer un deuxième album. Intitulé “Sunday at Devil Dirt”, il paraîtra le 5 mai prochain.

vendredi, 01 février 2008 11:37

Les Kooks de retour

« Konk », ce sera le titre du nouvel album des Kooks, dont la sortie est prévue pour le 14 avril. Intitulé " Always where I need to be ", leur premier single sera diffusé sur les ondes radiophoniques, dès ce lundi 4 février.

Pour plus d’infos : http://www.thekooks.co.uk

Pour regarder la vidéo de "Always Where I Need To Be" :  http://www.youtube.com/watch?v=ln_qHyGD9zo

 

 

mercredi, 30 janvier 2008 19:19

Pas de sport pour Rodolphe Burger

Le 18 février paraîtra le nouvel opus de l’ex-Kat Onoma, Rodolphe Burger. Intitulé « No sport », il a reçu la collaboration de Doctor L et puis surtout de Rachid Taha ainsi que de James Blood Ulmer, chacun pour un titre.

Ses prochains concerts en France :

04-03-08 Rouen - Hangar 23 / Theatre Duchamp Villon

05-03-08 - Clermont Ferrand - Cooperative De Mai

07-03-08 - Saint Jean De Vedas - Victoire 2

20-03-08 - Herouville St Clair - Big Band Cafe

27-03-08 - Marseille - Cabaret Aleatoire De La Friche

28-03-08 - Hyeres - Théâtre Denis

Tracklisting

1 Avance

2 Lover Dose

3 Elle est pas belle ma chérie?

4 Rattlesnake

5 Vicky

6 Je tourne

7 Arabécédaire                        

8 Ensemble

9 J'erre

10 Marie                                  

11 Blue skies

12 Ski-doo

13 Avec toi

14 Un nid?

Pour voir la vidéo :

http://www.youtube.com/watch?v=9jqiCO6f0Z4

http://www.wat.tv/playlist/660434/video/822442/rodolphe-burger-elle-est-pas.html

http://www.wideo.fr/video/iLyROoaftPLD.html

Pour voir la vidéo de l’ « Arabécédaire » en compagnie de Rachid Taha

http://www.youtube.com/watch?v=zU4RIHp2S74

http://www.wat.tv/playlist/660434/video/823865/rodolphe-burger-rachid-taha.html

 

Pour plus d’infos : http://www.rodolpheburger.com et http://www.myspace.com/rodolpheburger

 

mardi, 31 décembre 2002 01:00

Hold tight the ropes

Fondé en 1997, sur les cendres des Melting Hopefuls, Elk City s'était illustré lors de la sortie de son premier elpee par une cover particulièrement réussie du " California dreamin' " des Mamas and The Papas. Ce trio new-yorkais d'adoption peut compter sur deux excellents chanteurs, par ailleurs complémentaires. Ce qui ne gâche rien. Peter Langland-Hassan, tout d'abord. Dont les inflexions chaleureuses rappellent tantôt Ira Kaplan, tantôt Dean Wareham. Renée Lobue, ensuite. Son timbre éthéré, limpide, s'inscrivant davantage dans la lignés des groupes arty du label 4AD. " Hold tight the ropes " constitue le deuxième opus d'Elk City. Un disque partagé entre ballades countryfiées vaporeuses, claires-obscures, aux sonorités élargies (NDR : pensez à Mazzy Star) et compositions chargées d'intensité électrique, parfois même trempées dans les claviers fluides (NDR : sorte de rencontre hypothétique entre Galaxie 500, Lloyd Cole et Concrete Blonde). En outre, leur mélange de psychédélisme de la fin des 60's, de folk du début des 70's, d'indie rock de la mi 80's et de lo fi de la fin des 90's se traduit par un style à la fois aventureux et mélodique ; mais en même temps et paradoxalement anachronique et novateur ( !?!?!). Un peu comme chez Yo La Tengo et Young Marble Giants. Le combo tirant aussi bien parti de l'instrumentation basique que de la technologie moderne. Pour cette dernière, heureusement sans excès et très judicieusement. A l'instar des arrangements symphoniques apportés au bouleversant " Smile ". Etonnant !

mardi, 29 janvier 2008 19:02

Time machine (The best of Shack)

Avant de fonder Shack, les frères Michael et John Head drivait The Pale Fountains, une formation liverpuldienne qui a marqué de son empreinte le début des eighties. Entre 1981 et 1985, très exactement. Au sein du line up militait également le futur trompettiste de James, Andy Diagram. Inspiré par le psychédélisme de Love, mais également la comédie musicale (Burt Bacharach), le jazz et la bossa nova, ses chansons romantiques deviendront même une des sources d’inspiration pour les Smiths. Après deux années de déchéance (toxicomane, Michael traverse une période de déprime, alors que leur bassiste McCaffrey, décède des suites d’une hémorragie cérébrale), les deux frangins disparaissent quelque temps ; avant de monter Shack, en compagnie du drummer Alan Wills, mais surtout du bassiste Pete Wilkinson, futur LA’s et Cast. Le quatuor sort quelques singles et un album en 1988 : “Zilch”. En 1991, la formation entre en studio. Au London's Star Street. Et achève les chansons de son deuxième elpee, « Waterpistol ». Malheureusement le studio est ravagé par un incendie, et les bandes sont détruites. En outre, leur producteur, Cris Allison, ne parvient plus à mettre la main sur les copies DAT de ces enregistrements. Et lorsqu’enfin il les retrouve, le combo a splitté. Finalement « Waterpistol » paraîtra en 1995, à l’initiative du label allemand Marina. Entretemps, les frères Head forment Strands qui commet un superbe opus en 1997 : « The Magical World of The Strands”. Toujours passé aussi inaperçu. Et l’année suivante, Shack se reforme. Il aligne quelques elpees : « HMS Fable” en 1999 et “Here's Tom With the Weather” en 2003. Ainsi que “The corner of Mill and Gill”, en 2006. Wilkinson est revenu au bercail un an auparavant, pour suppléer le départ de Rigby ; mais information bien plus importante, le groupe a signé chez Sour Mash, le label de Noël Gallagher. Qui a toujours voué une grande admiration aux frères Head. Il les considère d’ailleurs comme une influence majeure d’Oasis.

Maintenant, venons-en à cette compilation qui réunit des extraits des quatre derniers albums (NDR : pas de trace, donc de « Zilch »). Mais également deux singles tout à fait épatants datant de 1990 et 1991. C'est-à-dire « I know you well », digne du meilleur Stone Roses et « Al’s vacation », un titre d’acid folk aussi bancal que capricieux, réminiscent de Syd Barrett. Ainsi que deux nouvelles compos (elles figurent en fin de parcours) : « Holiday abroad », dont la mélodie est tellement contagieuse que vous risqueriez fort de la siffloter sous la douche et l’impétueux « Wanda », morceau de psyché house cuivré, rappelant à nouveau la célèbre formation de Ian Brown, à ses débuts. Même si la délicatesse du timbre vocal de Michael est davantage mise en évidence. Pour le reste, heureusement que les notes incluses dans la pochette sont suffisamment explicites ; sans quoi, on n’y retrouverait plus ses jeunes. Ce qui permet quand même de cerner l’évolution de cet ensemble dont la musique à l’origine très psyché (Stone Roses, Syd Barrett, Byrds) a progressivement évolué vers une forme de plus en plus sophistiquée, l’influence de Love circa devenant même très marquante sur l’avant dernier opus (les arrangements, les orchestrations, les cuivres mariachi, etc.) Ce qui n’a jamais empêché les compos de continuer à bénéficier de ce dosage subtil entre cordes acoustiques et intensité électrique. La formation a également vécu sa période britpop hymnique (pensez à Oasis, à The Coral ou encore aux Bluetones) ; et en particulier sur l’album « Waterpistol », paru quatre ans trop tard. On ne va pas en rajouter une couche, c’est une compile, mais franchement elle mérite toute votre attention. En outre, comment comprendre qu’un groupe aussi talentueux soit passé à travers…

mardi, 29 janvier 2008 18:46

Sisyphus, window cleaning

Dimi Dero est français. Parisien, très exactement. Mais sa musique plaît surtout aux Australiens. Pas parce qu’il chante dans la langue de Shakespeare, mais parce qu’il pratique une forme de garage largement inspiré par les Scientists et Birthday Party. Ce qui explique sans doute pourquoi il a été signé par le label antipodal Off The Hip. Et puis tourne régulièrement au pays des kangourous. En outre, ses collaborations auprès d’artistes aussies sont régulières : depuis Kim Salmon à The Dirty Three, en passant par Mick Harvey, Penny Ikinger ou encore les Drones. Enfin, non seulement Dero drive son propre groupe, mais ce multi-instrumentiste compose et assure la production de ses œuvres.

Pour enregistrer “Sisyphus, window cleaning”, il a reçu le concours d’Ash Wednesday, préposé aux claviers lors des tournées d’Einsturzende Neubauten et des Sacred Cowboys. La musique de Dimi Dero Inc. est tour à tour sauvage, menaçante, lugubre, ténébreuse, marécageuse, fébrile, aride, intense, malsaine et parfois même brutale. Dero y épanche ses ressentiments d’un timbre âpre, mais sophistiqué, dont les inflexions sont susceptibles de rappeler celles de Peter Murphy (Bauhaus) voire d’Alex Harvey, surtout en fin de parcours. Et notamment sur les deux meilleures plages de l’opus. En l’occurrence « I washed your windows clean », morceau construit en crescendo qui s’achève par un final apocalyptique et le bonus track, « Sleep alone », caractérisé par cette ‘lead guitar’ à la fois mélodique, gémissante et chatoyante qui baigne dans ce magma d’électricité blanche en fusion…

mardi, 29 janvier 2008 18:44

Custom Made (Ep)

Ne pas confondre The Drones, obscure formation punk ayant sévi à Manchester à la fin des 70’s et The Drones, groupe australien né au début du XXIème siècle, qui a émigré en Europe, à l’instar des Triffids, des Go Betweens, de Nick Cave et de Dirty Three, en 2005. Mais du band originel, il ne reste plus que le chanteur/guitariste Gareth Liddiard. Un personnage dont le timbre vocal rocailleux colle parfaitement au style de leur musique. Au fil de leur histoire, on ne compte plus les changements de line up. The Drones pratique une sorte de psyché/rock/blues/garage rappelant surtout Green On Red, même si le groupe revendique pour influences majeures le Velvet Underground, Bad Brains (NDR : du côté des doigts de pieds, sans doute), Birthday Party, Suicide, Neil Young, Van Morrison, Bob Dylan et Nina Simone…

All Tomorrow Parties, leur label, leur a demandé d’inaugurer toute une série d’EPs (dont 1 000 exemplaires seront édités sous la forme d’un double vinyle), au cours desquels les artistes ou formations issus de la maison de disques, seront invités à interpréter quatre compos : une ancienne, une récente, un emprunt et quelque chose ayant un rapport avec la couleur bleue. Le quatuor aussie a ainsi choisi un extrait de son premier opus « Here come the life » (« Cockeyed lowlife of the highlands ») qui figurait également sur un 7 inches paru en 2002, un titre issu de leur dernier opus, « Gala Mill », paru en 2006 (« I don’t ever want to change »), une cover de Charles Aznovour (« I drink ») et un blues figurant dans le tracklisting de l’elpee « Wait Long By The River and the Bodies of Your Enemies Will Float By » (« Shark fin blues »), édité en 2005.

mardi, 29 janvier 2008 18:36

Monclovia

Ce disque réunit des compos issues des trois premiers opus de cette formation établie dans l’Ohio, parfois remixées. Un quintette apparemment contaminé par la musique des sixties. Depuis les Beatles (surtout George Harrison) aux Byrds, en passant par les Hollies, les Monkees, Manfred Man, le Move, le Who et j’en passe. En ce qui concerne l’influence des Fab Four, la présence d’un sitar n’y est pas étrangère. Et « Revolver » doit certainement constituer un album de chevet pour le quintet. Mais aussi des bandes passées à l’envers, un peu dans l’esprit de « Magical Mystery Tour ». Ou encore d’un quatuor à cordes. Sur deux plages. Inévitablement on ne peut que penser à « Eleanor Rigby ». Encore qu’« Alluming Martha » hésite entre mélodies ‘sydbarettiennes’ et orchestrations ‘philspectoresques’, alors que « King Of Zorg » puise à la fois chez « Abbey Road » et « Tommy ». Ce revivalisme sixties nous offre également quelques surprises. Et en particulier un hommage au défunt leader de Love. Intitulé « Make like Arthur Lee », il aurait pu naître d’une rencontre entre le Fleetwood Mac de « Oh well ! » et la phase la plus acoustique d’un Jethro Tull. Bref, un album plutôt agréable à écouter, à défaut d’être original. En outre, il recèle en « All in good time », une chanson pop presque parfaite. Particulièrement contagieuse et subrepticement rognée d’un zeste de clavier poussiéreux, elle aurait pu devenir un hit… si le groupe bénéficiait d’un quelconque battage médiatique. On peut toujours rêver…

Pegi Young, l’épouse de Neil Young, sortira son premier album solo ce 8 février. Eponyme, il creuse dans une veine country-rock-blues. Elle ouvrira, en outre, les sets de son époux, les 11 et 12 février à Anvers.

Tracklisting

1. Fake    

2. Heterosexual Masses    

3. When the Wild Life Betrays Me    

4. Hold On    

5. Love Like Water    

6. Key to Love    

7. Sometimes    

8. Sometimes Like a River (Loving You)    

9. I Like the Party Life    

10. White Line in the Sun    

11. I'm Not Through Loving You Yet    

 

Pour plus d’infos : http://www.pegiyoung.com