Jasper Steverlinck inspiré par Roy Orbison ?

Jasper Steverlinck vient de sortir un nouveau single. Il en parle : ‘« Nashville Tears » est l'une de ces chansons qui m'est venue à moi, instinctivement. Elle a coulé d'un seul jet, comme si la chanson s'était écrite toute seule. Elle évoque un moment très…

logo_musiczine

Les échos intergalactiques de Mr. Bison…

Le cinquième opus de Mr. Bison paraîtra ce 16 février. Il s’agit d’un groupe italien dont la musique vous entraîne au cœur d’un voyage prismatique qui explore les notions de liberté et de destin à travers la mythologie nordique et tisse une tapisserie sonore…

Langues

Trouver des articles

Suivez-nous !

Facebook Instagram Myspace Myspace

Fil de navigation

concours_200

Se connecter

Nos partenaires

Nos partenaires

Dernier concert - festival

Zara Larsson 25-02-2024
frank_carter_and_the_ratt...

Untried ways Spécial

Écrit par
&

Ex-guitariste d’Orignal Folks, Stephan Nieser a monté son propre projet Solaris Great Confusion. « Untried ways » constitue son second elpee, un disque qui fait suite à « Some Are Flies », paru en 2016. Pour enregistrer ce nouvel opus, il a reçu le concours d’amis musiciens, en compagnie desquels, il a tourné pendant deux ans, dont la violoncelliste Elise Humbert, l’accordéoniste Yves Béraud, le guitariste Aurel Troesch, le batteur Jérôme Spieldenner, le bassiste Foes Von Ameisedorf et Jacques Speyser aux chœurs. ‎ 

« Untried ways » baigne dans une forme de folk contemporain inspiré par Bill Callahan (Smog), Cass McCombs, feu Fred Neil, Howe Gelb ou encore Tim Hardin. Délicate, la guitare est jouée en picking. Certaines compos bénéficient d’arrangements orchestraux soignés. Les interventions au violoncelle accentuent l’aspect mélancolique des compos. Plus allègre, « She kissed my forehead » est parcouru d’un synthé gracile. Coloré par un zeste de clavier rogné mais un peu plus allègre, « So close to me Marlene » émarge à la country. Particulièrement romantique, le titre maître aurait pu figurer au répertoire de Sophia. Et « I wish I was blind », partagé par une voix féminie, à celui de Tindersticks. Faut dire que le timbre voix campe régulièrement un baryton profond. Paradoxalement, « That fellow’s got to swing », plage qui clôt l’opus, baigne au sein d’un climat proche de Mercury Rev. On épinglera encore la reprise du « The age of self » de Robert Wyatt, une piste qui réveille, en notre for intérieur, la lutte des classes. Superbe !

8

Informations supplémentaires

  • Band Name: Solaris Great Confusion
  • Genre: Pop/Rock
  • Label Prod: Mediapop (Promo : La Centrifugeuse Communication)
  • Date: 2020-10-22
  • Rating: 8
Lu 935 fois
Plus dans cette catégorie : « Circuit This place sucks ass (Ep) »