Comment ne pas maudire son rédacteur en chef quand celui-ci vous invite, en pleine période festive, à chroniquer l'album d'un groupe sorti de nulle part, qui sévit (NDR : parait-il !) depuis 1995, est à l'origine d'une petite quinzaine de hits (voir titre???) et porte un nom aussi accrocheur que The Fucking Champs? La pochette est belle comme une photo de première communion, la musique moins excitante qu'un documentaire de chasse, la production aussi soignée que la démo d'un groupe de grind core roumain, et l'hommage à Jean Sébastien Bach (NDR : en plage 5) relève du pur sacrilège. Bon, ben finalement, j'reprendrais bien un morceau de cette bûche dégoulinante de crème au beurre.