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Bénabar les regarde danser…

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Dernier concert - festival

The Pixies - 26/04/2025
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Bernard Dagnies

Bernard Dagnies

Les légendaires pionniers suisses de l’indus, The Young Gods, opéraient leur grand retour sur la scène de l’Aéronef à Lille, dans le cadre d’une tournée destinée à promouvoir la sortie d’un quatorzième album studio baptisé « Appear Disappear » et à célébrer ses 40 ans de carrière. Le club affiche complet pour cette soirée où le trio va démontrer, une fois de plus, sa capacité à fusionner l’urgence brute du rock et l’art du sampling.

Dès 21h10, ponctualité suisse oblige, Franz Treichler (chant, guitare), Cesare Pizzi (samples) et Bernard Trontin (batterie) investissent la scène, portés par une énergie régénérée. Les sonorités de la guitare sont tranchantes, les rythmiques effrénées, et les paysages industriels finement orchestrés. Les titres s’enchaînent sans temps mort, chacun portés par les samples du magicien de service, qui déchirent littéralement l’atmosphère.

Le concert s’ouvre par « Appear Disappear », le titre maître du dernier long playing, dont le tempo évoque celui d’un train à vapeur, puis embraie par « Systemized », imprimé sur un drumming tribal, le lancinant « Hey Amour », le blues indus « Blackwater » (ce drumming syncopé !), et « All My Skin Standing », qui s’ébroue dans un climat ambient, est secoué par des explosions métronomiques, avant de s’enfoncer dans un final apocalyptique. Le public est transporté par la complainte intergalactique de « She Rains » et les réminiscences orientales de « Intertidal ». La voix de Franz peut se faire rauque, à l’instar du sauvage voire menaçant « The Night Dance » et de l’autre blues indus, « Gasoline Man », une voix aussi rocailleuse que celle d’un vieux bluesman.

La frénésie s’empare du drumming de Trontin sur « Mes yeux de tous », une compo traversée d’éclairs d’électricité. Et cette intensité électrique devient spasmodique sur « Blue Me Away », même si elle est entrecoupée par les vocalises atmosphériques de Treichler. Le set s’achève par « Shine That Drone », dont le rythme presque new wave incite les premiers rangs à s’agiter et même à danser.

Le light show est à la hauteur de la performance musicale : neuf colonnes lumineuses forment un demi-cercle derrière le groupe, les lumières circulent, changent de couleur, deviennent multicolores ou tombent comme des flammes, créant une ambiance immersive.

Après une heure de concert intense, le trio accorde deux rappels, livrant notamment l’emblématique « Skinflowers », moment choisi par Franz pour sortir une torche électrique afin de balayer la fosse de son faisceau lumineux, et « Charlotte », dans un registre différent, bercé par des samples d’accordéon et se distinguant par ses paroles décalées. Et lors du second encore le combo helvète nous gratifie de « Did you miss me », une reprise de Gary Glitter. Le public, conquis, profite jusqu’au bout de cette énergie communicative, avant que les musicos des Youngs Gods ne terminent par des poignées de main aux premiers rangs.

Dans une interview, Franz Treichler confiait : ‘Ne capitulez pas. Et gardez votre énergie, même si l’environnement est… eh bien, tel qu’il est’. Une philosophie qui transparaît dans la musique des Young Gods et leur présence scénique, où chaque son est travaillé comme une couleur sur une toile.

Ce soir, on a eu droit à une démonstration magistrale du savoir-faire du trio suisse, confirmant son statut de maître incontesté du rock industriel et de force scénique capable de surprendre et d’émouvoir, même après quatre décennies de carrière.

Setlist : Appear Disappear, Systemized, Hey Amour, Blackwater, All My Skin Standing, She Rains, Intertidal, The Night Dance, Gasoline Man, Mes yeux de tous, Blue Me Away, Shine That Drone.

Rappel 1 : Skinflowers, L'amourir, Charlotte

Rappel 2 : Did You Miss Me

(Photos Ludovic Vandenweghe ici)

(Organisation : Aéronef, Lille)

vendredi, 31 octobre 2025 10:18

Che Arthur décrit le monde présent

L'artiste américain Che Arthur (Pink Avalanche, Atombombpocketknife), sort aujourd'hui son nouveau titre, « Sever », premier single extrait de son prochain album, » Describe This Present Moment », qui paraitra le 9 janvier 2026 chez Past/Future Records.

« Describe This Present Moment » constitue le cinquième opus de Che Arthur sous son propre nom. En 10 titres, le multi-instrumentiste, auteur-compositeur, ingénieur du son et producteur basé à Chicago oppose les structures punk/indie tendues et concises et les textures acoustiques contemplatives de ses elpees précédents à des moments plus lourds.

« Sever », selon Arthur, traite du ‘désir ardent d'une connexion réelle dans une société de plus en plus déconnectée et dangereuse’. Sur le plan musical, ce morceau pourrait intéresser les fans de Sugar, Jawbreaker ou The Smithereens.

Che Arthur se produira en concert à Paris à la Maroquinerie le 9 novembre en première partie de Bob Mould.

« Sever » est en écoute

 

 

Johnny Marr, né John Martin Maher en 1963 à Manchester, est un musicien anglais surtout connu comme le guitariste et compositeur du groupe The Smiths dans les eighties, formant un duo emblématique avec le chanteur Morrissey. Son style de guitare innovant a influencé de nombreux musiciens britanniques. Après la séparation des Smiths, en 1987, Marr a milité au sein de plusieurs formations (The The, le duo Electronic avec Bernard Summer de New Order, The Healers, Modest Mouse, The Cribs) et collaboré avec de nombreux artistes. Il a également mené une carrière solo, gravant plusieurs elpees dont « The Messenger » (2013), « Playland » (2014), « Call the Comet » (2018) et le double album « Fever Dreams Pts 1-4 » (2022). Marr a aussi publié une autobiographie, « Set the boy free » (NDR : que votre serviteur avait lue très attentivement, à l’époque), et a participé à de nombreux projets musicaux, confirmant son statut de figure majeure de la pop et du rock britannique. Car finalement, Johnny Marr, auteur/compositeur/interprète, c’est aussi près de 40 ans de carrière post-Smiths.

Il se produisait ce mardi 21 octobre à l’Aéronef de Lille. Le public est nombreux, bien que la salle n’affiche pas complet. D’ailleurs, l’étage est ouvert, signe d’un bel engouement. Et c’est The Clockworks qui assure le supporting act.

Vu la densité de la circulation, pour arriver à bon port, lorsqu’on débarque dans la salle, la moitié du set est déjà assuré. Mais le peu auquel nous avons pu assister est convaincant. The Clockworks est un quatuor signé, depuis peu, par le légendaire Alan McGee. Originaire de Galway, en Irlande, mais désormais établi à Londres, le groupe vient de publier son premier long playing, « Exit Strategy », enregistré à Abbey Road et produit par l’ex-Suede Bernard Butler.

Sur les planches, chargé d’intensité, leur expression sonore tient parfaitement la route. Les guitares crépitent, la section rythmique percute, les backing vocaux soutiennent parfaitement la voix du lead singer, James McGregor, et le son est parfait. Les quatre jeunes musiciens illustrent une nouvelle fois l’incroyable vitalité de la scène post-punk britannique et irlandaise en particulier. A ne pas manquer lorsqu’ils se produiront pour un concert d'au moins une heure (photos Ludovic Vandenweghe ici et page ‘Artistes’ ). 

Setlist : Endgame, Enough Is Never Enough, Mayday Mayday, Best Days, Blood on the Mind, The Future Is Not What It Was, Lost in the Moment

Cool, veste en jeans sur le paletot, Johnny Marr grimpe sur le podium accompagné de ses fidèles musiciens : Jack Mitchell à la batterie, James Doviak à la seconde guitare, aux synthés et aux backing vocaux ainsi qu’Iwan Gronow à la basse

Dès les premiers morceaux, Marr montre son assurance scénique. Le quatuor fonctionne à merveille : la basse et la batterie forment une base rythmique solide, tandis que James Doviak, excellent second sixcordiste, apporte une complémentarité précieuse, doublant parfois aux claviers et assurant les chœurs. Sa voix se distingue particulièrement dans les aigus, mais elle peine un peu dans les graves.

La setlist, variée, alterne entre compositions solo de Marr et reprises des Smiths (six en tout), qui électrisent littéralement le public à chaque fois. Le spectre de Morrissey plane sur ces morceaux, et la nostalgie s’installe lors de titres comme « This Charming Man », « Big mouth strikes again », « Panic », dont l’auditoire reprend en chœur le fameux slogan ‘Hang The DJ’ ou « How soon is now », au cours duquel le vibrato si caractéristique est très susceptible de vous flanquer des frissons partout ; et même « Please, Please, Please Let Me Get What I Want », réarrangé en acoustique, pour un moment intime et touchant.

Parmi les titres solo, « Generate! Generate ! » ouvre le bal, suivi de « Armatopia » où un petit souci de guitare est vite réglé par un roadie, et « New Town Velocity » aux sonorités cristallines. « Spirit Power and Soul » apporte une touche électro, avec le batteur aux boîtes à rythmes, tandis que « Hi Hello » rappelle les Smiths par ses arpèges complexes et ses inflexions vocales, mais Johnny n’a ni le timbre, ni l’amplitude de Morrissey.

A mi-parcours, Johnny remercie les spectateurs qui se sont déplacés pour assister au concert, ce soir, mais pas les autres ; ce qui déclenche l’hilarité dans l’auditoire.

Meilleure compo personnelle, « Walk Into the Sea » se distingue par son atmosphère ténébreuse et ses vocaux incantatoires, flirtant avec la prog, tandis que « Getting Away With It » (reprise d’Electronic) transforme la salle en ‘Manchester Disco’ sous la boule à facettes. Enfin sur l’entraînant « Easy money », Johnny reprend le refrain à la guitare.

En rappel, Marr et son groupe reprennent « The Passenger » d’Iggy Pop, déjà adapté lors d’un événement BBC Radio 2 et repris aux côtés de Tim Booth de James lors de leur tournée nord-américaine, puis « Ophelia », dont la partie de guitare funky participe au groove contagieux.

Le concert s’achève sur « There Is a Light That Never Goes Out », hymne incontournable des Smiths, repris en chœur par le public. Johnny, ému, s’incline devant la foule, et se laisse submerger par l’ovation finale, visiblement ému par l’accueil chaleureux.

Si Johnny Marr a démontré une fois de plus son talent, sa précision et son efficacité, sans jamais tomber dans la démonstration technique, ce showman à l’attitude cool parvient à bonifier son propre répertoire, parfois constitué de titres sans grand relief, mais surtout à rendre chaque reprise des Smiths vibrante de nostalgie et d’émotion. C’est surtout pour ça que la majorité du public s’était déplacé nombreux, ce soir.

(Photos Ludovic Vandenweghe ici)

Setlist

Generate! Generate !, Panic (The Smiths song), Armatopia, New Town Velocity, Spirit Power and Soul, It's Time, Hi Hello, This Charming Man (The Smiths song), Somewhere, Please, Please, Please Let Me Get What I Want (The Smiths song), Spin, Walk Into the Sea, Bigmouth Strikes Again (The Smiths song), Easy Money How Soon Is Now? (The Smiths song), Getting Away With It (Electronic song)

Rappel

The Passenger (Iggy Pop cover), Ophelia, There Is a Light That Never Goes Out (The Smiths song)

(Organisation : Aéronef, Lille)

 

vendredi, 24 octobre 2025 18:45

Sleaford Mods sur une autre planète

Les Sleaford Mods sortiront leur nouvel album, « The Demise Of Planet X », le 16 janvier 2026 chez Rough Trade Records. Ce projet, présenté comme le plus ambitieux du duo Andrew Fearn et Jason Williamson, inclut des collaborations inédites avec Sue Tompkins (ex-Life Without Buildings), Aldous Harding, Liam Bailey et Snowy, tous deux originaires de Nottingham. L’actrice Gwendoline Christie fait également ses débuts musicaux sur le single « The Good Life », accompagné d’un clip réalisé par Ben Wheatley.

L’opus propose une palette musicale variée et expressive, abordant avec satire et critique les enjeux contemporains à travers 13 titres. Jason Williamson décrit ce disque comme le reflet d’une vie marquée par l’incertitude et les traumatismes collectifs, sur fond de guerre, de pandémie et de mutation des réseaux sociaux.

En attendant la sortie de cet elpee, le duo a partagé un single, « The good life », sous forme de clip. Et il est à voir et écouter

 

vendredi, 24 octobre 2025 18:42

L’incertitude de Lone Assembly

Laissant au fil des titres des puits de lumière pop transpercer par-ci par-là l’obscurité gothique de leur répertoire, Lone Assembly dévoile aujourd’hui un single qui ne laisse cette fois que peu passer de rayons : « My Life’s Solid » est un morceau noir, où la puissance de leur new-wave/synth-pop est plus impressionnante que jamais.

 Le groupe fait une fois plus preuve d’une profonde humanité en passant sous la loupe des thèmes difficiles. « My Life’s Solid, c’est le vertige de voir ses certitudes se fissurer. Une épopée sombre et viscérale sur la perte de repère et le besoin d’être vu dans une atmosphère introspective et claustrophobe. Le refrain éclate comme une lucidité brutale : ce que l’on croyait ‘solide’ ne l’est pas. » explique Raphaël Bressler, le chanteur du band.

Le quatuor, composé également de Glenn Le Meur (guitare), Jim Bodeman (basse) et Romain Segu (batterie) donne ainsi suite à une série de singles parus plus tôt cette année, et des concerts joués à travers l’Europe.

La ‘lyric’ vidéo de « My life’s solid » est disponible ici

 

 

vendredi, 24 octobre 2025 18:39

Reversed Chakra, une denrée rare…

Le groupe italo-britannique Reversed Chakra sortira un nouvel Ep, « Rarefied », ce 31 octobre 2025. Fusionnant indie rock, dark wave et post-rock, le quatuor livre une musique intense et émotionnelle, portée par des titres puissants comme « Game Of Chess », « Dust » et « All The Way Down ».

Produit par John Fryer (Depeche Mode, Nine Inch Nails) et masterisé par Alan Douches (The Chemical Brothers, Chelsea Wolfe), l’Ep propose également une relecture sombre et audacieuse du classique « The Wild Boys » de Duran Duran.

Plus d’infos en visitant la page ‘Artistes’ ci-dessous.

vendredi, 24 octobre 2025 18:37

La sous-puissance veloutée de Sweet Gum Tree

Le singer-songwriter angevin Arno Sojo a créé son projet Sweet Gum Tree, il y a une quinzaine d'années, fidèle à une élégance résolument british. Ayant éprouvé son répertoire sur les scènes européennes dans des formules à géométrie variable, sa démarche artistique s'est régulièrement nourrie de collaborations avec des membres de Tindersticks, The Church ou R.E.M. ou encore les chanteuses Heather Nova et Isobel Campbell. Récemment, il a rejoint le magicien pop Ed Harcourt dans son studio d'Oxford pour donner naissance à un nouveau LP, « Velvet Underkill », annoncé pour début 2026.

En attendant, il a sorti un single « Velvet Underkill », une compo qui rend un hommage poétique au New-York du Chelsea Hotel des années 60-70. Entre rêverie glam, références à Warhol et éclat pop à la Big Star, "Velvet Underkill" brouille les repères comme Arno Sojo sait si bien le faire. Et il est disponible sous forme de clip .

 

Le label Numero Group annonce la sortie, le 7 novembre, d’un coffret exceptionnel retraçant l’année 1985 de Hüsker Dü, groupe phare de la scène punk de Minneapolis. Intitulé “1985: The Miracle Year”, ce coffret 4 vinyles propose l’intégralité du concert du 30 janvier 1985 au First Avenue, restauré par Beau Sorenson, ainsi que 20 titres live supplémentaires issus de la tournée de cette année charnière. Un livret détaillé accompagne l’ensemble, revenant sur douze mois décisifs dans l’histoire du groupe.

Quatre morceaux de ce coffret sont déjà disponibles en streaming : « The Girl Who Lives On Heaven Hill », « I Apologize », « If I Told You » et « Folklore ». Ce live témoigne de l’énergie et de la créativité fulgurantes du trio, qui, après avoir marqué les esprits avec “Zen Arcade” en 1984, enchaîne par “New Day Rising” début 1985, puis poursuit sa progression vers une reconnaissance plus large.

Le concert du 30 janvier 1985, donné par -11°C devant 1500 fans survoltés, illustre la puissance scénique de Hüsker Dü. Le groupe y interprète des titres issus de ses elpees phares, des inédits qui figureront plus tard sur “Flip Your Wig”, ainsi que des reprises explosives de classiques du rock.

La survie des bandes originales de ce concert, malgré un incendie ayant détruit une partie des archives du groupe en 2011, relève du miracle. Ce coffret rend hommage à une période où Hüsker Dü, fidèle à ses convictions et à sa musique, posait les bases de l’alternative rock à venir.

 

vendredi, 24 octobre 2025 18:35

Le rooter fou de Party Dozen

Les punks de Sydney Party Dozen (Kirsty Tickle et Jonathan Boulet) reviennent avec leur nouveau single « Mad Rooter », extrait de leur prochain 45 tours double face A « Mad Rooter / Ghost Rider » qui sortira le 5 décembre chez City Slang.

À propos du nouveau morceau, le groupe déclare :

‘Nous ne l’avons pas enregistré avec un métronome, donc il y a ce côté décalé, ce va-et-vient qui lui donne du style. Il y a un solo de saxophone qui rappelle la séquence d’ouverture de David Letterman. Nous avons enregistré l’échantillon avec la guitare de Jon, qui est vieille et à peine fonctionnelle. L’électronique est fichue, il manque des cordes, et elle a été à moitié modifiée puis abandonnée.’

Le clip de « Mad Rooter » est disponible ici

 

 

vendredi, 24 octobre 2025 18:22

La mémoire de The Apartments

Le huitième album de The Apartments, « That’s What the Music Is For », est paru ce 17 octobre 2025. ​ Produit par Tim Kevin, il a été enregistré par Peter Milton Walsh entre 2023 et 2025, avec une approche progressive et minutieuse. Les chansons explorent la fusion entre passé et présent, tout en rendant hommage aux personnes disparues à travers la musique. ​ L'univers musical mêle mélancolie, raffinement, cuivres et cordes. ​

The Apartments, groupe fondé à Brisbane en 1978 par Peter Milton Walsh, tire son nom du film ‘La Garçonnière’ de Billy Wilder. ​ Après des collaborations avec The Go-Betweens et des débuts pour le label Rough Trade, le groupe a sorti plusieurs elpees marquants, dont « the evening visits… and stays for years » (1985), « drift » (1992), et « A Life Full of Farewells » (1995). Après une pause prolongée, il a gravé « No Song, No Spell, No Madrigal » (2015) et « In and Out of the Light » (2021).

Un monde de fumée, de gin et de regrets, un mode de mélancolie, de cuivres et de cordes. Un monde de raffinement et de probité. La vie dans ce qu’elle peut nous offrir, avec ses barques de joies et de tristesses. Les compositions de Peter Milton Walsh sont de véritables chansons en ce sens où elles racontent des histoires, des histoires qui nous accompagnent et que l’on peut chacun terminer. Le propre d’une grande œuvre sans doute.

Le clip de « Death Would Be My Best Career Move » est disponible

 

 

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