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Les échos intergalactiques de Mr. Bison…

Le cinquième opus de Mr. Bison paraîtra ce 16 février. Il s’agit d’un groupe italien dont la musique vous entraîne au cœur d’un voyage prismatique qui explore les notions de liberté et de destin à travers la mythologie nordique et tisse une tapisserie sonore…

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Fractional

Tepes

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Douze années déjà que Pierre Remy a lancé son projet Fractional. « Tepes » succède à « Blood », paru en 2010. De nationalité belge, cet artiste propose une musique électronique fortement contaminée par l’indus. On pourrait ainsi la décrire comme idéale pour sonoriser un film au climat post-apocalyptique du style ‘Blade Runner’. Mais les influences ne s’arrêtent pas en si bon chemin, puisqu’on y décèle également des traces de noise, breakcore et dubstep. Ainsi, la transe synth-wave de « Sionvi » répond au plus cinématographique et sombre titre maître. Se référant au nom du célèbre comte Dracula (Vlad Tepes), « Tepes » n’est certainement pas l’album le plus facile d’accès de Fractional, mais il devrait plaire aux mélomanes, à la recherche d’une électro plus aventureuse et alternative.

 

Fractional

Still Life ? (Ep)

Écrit par

Parfois, l’entraide au sein d’un magazine est nécessaire, surtout lorsque l’on doute sur l’identité sexuelle d’un artiste. C’est le cas chez Fractional qui se décline sous le patronyme d’Eugénie sur son site internet, alors qu’en réalité, il s’agit d’un Liégeois répondant au nom de Pierre Rémy. S’il s’agit d’une technique médiatique afin de susciter l’intérêt, il faut reconnaître que ça marche !

Penchons-nous maintenant sur le style musical que l’homme issu de la Cité Ardente qualifie de ‘gothic erotica’. Ne nous attardons cependant pas trop sur le graphisme de la pochette de son nouvel Ep, « Still Life ? ». Une image rebutante qui nous donnerait envie de passer son chemin. Or, après avoir écouté les quatre titres de ce disque, on se rend compte que Pierrot le Fou est un artiste fort créatif. Les sonorités synthétiques libérées sur ce disque sont très aventureuses, mais s’écoutent assez facilement. Et les beats à la fois ténébreux, énervés et astucieux évoluent au sein d’un univers sis quelque part entre drum’n bass et indus. Un univers bien personnel au sein duquel, il faut le reconnaître, Fractional excelle…

 

Fractional

Come Mierda

Écrit par

Issu de la Cité Ardente, Pierre Remy aka Fractional est un adepte convaincu de la musique électronique. Et plus précisément du gothic erotica. Un style qu’il pratique depuis 2004. Pour faire plus simple, disons que le trentenaire injecte d’énormes beats drum’n bass dans un univers sonore électronique plutôt cérébral, ténébreux, parfois même ambiant, surtout lorsqu’il nous inonde de ses couches à la Aphex Twin. Malheureusement, malgré les grosses claques assénées par ses beats meurtriers, un sentiment de monotonie finit par vous envahir. A cause d’une trop grande uniformité dans la construction des différentes plages. Parmi les 12 morceaux de cet opus, on retiendra surtout « Misute », « Leta » ou encore « Quigan » ; parce qu’elles provoquent de belles sensations. Mais pour le reste, tous les titres connaissent un creux. Comme s’ils étaient au bord de l’épuisement. Nous communiquant alors un sentiment de morosité. Maintenant, ce « Come Mierda » devrait plaire aux barbus-chevelus (NDLR : les babas-cool ?) ; et puis il faut reconnaître que cet artiste belge a du talent. Laissons-lui donc encore un peu de temps avant qu’il ne puisse pleinement l’exprimer. C’est tout le mal qu’on lui souhaite.    

 

Fractional

Aliwen

Écrit par

Cannibale vorace de sadisme numérique, Pierre Remy aka Fractional persécute, exécute et crache ses cuts. Ce marquis cultive un jardin à l’abri du soleil dans lequel les jeunes pousses emprisonnées sécrètent leur sève empoisonnée et cependant si juteuse. Le professeur Remy ouvre la trappe de l’électronica gothique emmurée de jungle galopante et de breaks à la Aphex Twin, pour une visite dans les dessous de l’organique. Amputations stylisées et suffocations érotiques enduisent le tout premier cadavre exquis de ce jeune anthropophage. Tapissé de résonances indus et gothiques, l’opus exploite la dislocation sonore rythmée de beats atomisés et peuplée de nappes vaporeuses. Singulièrement doté d’une vive curiosité pour les musiques ‘ethniques’ et classiques dont il s’inspire (la contrebasse de « Ka Hura »), Fractional compose ses couleurs propres, des peintures électroniques, avant de les dompter. L’apport visuel (des projections complètent ses performances scéniques) restitue en images cet univers décomposé et renforce le travail soigné de ses œuvres aux noms insensés. Une toile foisonnante de textures hétéroclites retournées à la moissonneuse batteuse dans une épinglante dextérité.