Mêlant intimement chanson française et pop-rock, Joseph d’Anvers s’est affirmé en l’espace de dix ans et cinq albums comme l’un des auteurs-compositeurs-interprètes les plus intéressants de sa génération. Il a multiplié les collaborations et notamment avec Mario Caldato Jr et Money Mark des Beastie Boys, Darrel Thorpe (producteur de Beck, Radiohead, Air), Alain Bashung ou encore Troy Von Balthazar et enrichit sa palette musicale de nuances inédites à chaque album.
En 2015, il revenait sur le devant de la scène en gravant « Les Matins Blancs », un elpee écrit en collaboration avec ses complices : Dominique A, Lescop et Miossec.
Après « La Nuit Ne Viendra Jamais » paru en 2010 et son roman graphique ‘Les jours Incandescents’ en 2018, Joseph d’Anvers sort en 2020 son deuxième roman intitulé ‘Juste Une Balle Perdue’ aux éditions Rivages/Actes Sud, un livre à l’écriture électrique et au récit intense, largement salué par la critique, qui lui vaut d’être nommé à plusieurs prix littéraires.
L’artiste français explore dans « Doppelgänger » (sorti en février dernier) un univers davantage cinématographique fait de sonorités électroniques, basses puissantes et de rythmes soutenus, un kaléidoscope doux et fulgurant où Joseph d’Anvers, qui ne cesse de se réinventer, nous guide tout en maîtrisant les sonorités.
En publiant « Jellyfish » Joseph d'Anvers opère un virage plus électronique que jamais, avec la BO du spectacle éponyme.
De l’electronica, à la house, en passant par le rock down tempo d’inspiration Southern Gothic, il nous entraîne dans une fable contemporaine et fantastique sur l’adolescence.
Extrait de la bande originale, « To the badlands » s'offre même une nouvelle vidéo inédite réalisée par Joseph d'Anvers lui-même, dans un style très 90's.
Le clip de « To the badlands » est disponible là