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Le venin de Judith Hill...

Chanteuse, compositrice et multi-instrumentiste, Juidith Hill, sortira son nouvel opus, « Letters From A Black Widow » le 12 avril 2024. Un album taillé en 12 pièces qui présente une histoire fascinante oscillant de la douleur privée à la transcendance…

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Cigarettes After Sex

Cigarettes After Sex signe de plusieurs croix…

Cigarettes After Sex vient d’annoncer la sortie de son nouvel album. Intitulé « X's », il devrait paraître ce 12 juillet sur Partisan Records. Et sa prochaine tournée mondiale comprendra des concerts dans certaines des salles les plus emblématiques du monde, comme le Madison Square Garden et l'O2 Arena de Londres.

Avec un album rempli d’anecdotes crues, imagées, parfois obscènes, accompagnées de chansons pop envoûtantes, le chef d'orchestre Greg Gonzalez capture toutes les émotions qu'un arc-en-ciel romantique peut inspirer. Mais, alors que les albums précédents s'inspiraient d'un mélange de relations, « X's » se concentre en grande partie sur une seule relation qui s'est étalée sur quatre ans.

‘L'album est brutal’, admet Gonzalez. ‘Je pourrais m'asseoir et parler de cette perte à quelqu'un, mais cela ne suffirait pas. Je dois vraiment écrire à ce sujet, chanter à ce sujet, trouver la mélodie, et ensuite je peux commencer à l'analyser et à en tirer des leçons.’

Tout en continuant à observer les structures classiques des chansons pop, Gonzalez s'est éloigné des anciens éléments sonores des années 50 et 60, se sentant désormais attiré par les slows des années 70 et 80. Bien que (dans le style typique des Cigarettes) ces changements soient subtils, l'énergie globale qui en résulte s'apparente à des larmes reflétées par des boules à facettes sur la piste de danse.

Issu de ce futur elpee, « Tejano Blue » est en écoute .

 

 

 

Ten Years After

A sting in the tale

Écrit par

Ten Years After est une légende dans l’histoire du blues/rock. C’est une des plus célèbres qui a sévi sur la scène blues anglaise, à la fin des sixties. Une notoriété essentiellement imputable à son leader charismatique, le chanteur/guitariste Alvin Lee. Souvenez-vous, TYA s’est produit dans le cadre de l’illustre festival de Woodstock, en août 1969. Ses premiers elpees ont rencontré un franc succès. Et pourtant, le combo se sépare en 1974. Se réunit en 1983, avant de splitter à nouveau. Il se reforme en 1988, mais en 2003, Alvin décide de quitter définitivement le combo. Il est alors remplacé par Joe Gooch, qui cède ensuite le relais à Marco Bonfanti, en 2014. Ce jeune chanteur/guitariste londonien est depuis devenu la figure de proue du quartet. Lee a publié quelques long playings en solo, mais décède, le 6 mars 2013, en Espagne.

"A sting in the tale" marque les débuts studio de Marcus Bonfanti, dans le groupe. Au sein duquel figurent toujours deux musicos originels, le batteur Ric Lee et l'organiste Chick Churchill. Le line up est complété par le bassiste Colin Hodgkinson. Bien que toujours blues, TYA pratique une musique sensiblement différente de celle proposée dans le passé. Il ne s’agit donc pas d’une pâle copie. 

Bonfanti démontre déjà toute l’étendue de son talent sur le blues/rock solide "Land of the Vandals". Sa voix est légèrement éraillée. "Iron horse" monte en puissance, mais ici, c’est la ligne de basse tracée par Colin qui impressionne. Le changement le plus perceptible émane du rôle bien plus en vue de Chick Churchill, aux claviers. Et il le démontre tout au long de "Miss Constable". L’album recèle quelques excellents titres lents, à l’instar d’"Up in smoke", une plage caractérisée par la voix chargée d’émotion et le recours aux cordes acoustiques, de "Retired hurt", mais surtout, de "Diamond girl". Plus rock, "Last night of the bottle" nous replonge dans le passé. "Guitar hero", également. Les cordes arrachent littéralement. Et puis encore "Suranne Suranne". Puissante et rocailleuse, la voix rappelle John Kay, le leader de Steppenwolf. Etonnant !  

 

After All

Waves of Annihilation

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L’herbe est toujours plus verte dans le pré du voisin. L’adage horticole n’a jamais été aussi vrai chez After All, groupe de Thrash originaire de Bruges, maniant le riff effréné depuis maintenant… 29 ans ! Une longévité qui n’est pourtant pour eux pas synonyme de célébrité. Peu de chances en effet que les metalheads citent After All parmi les bands de Metal les plus connus du plat pays. À tort. Armés déjà de huit elpees studio, les Belges reviennent au début de l’été, un nouveau skeud sous le bras, intitulé « Waves of Annihilation ».

Dix morceaux de pur concentré de Thrash, nourris circonstanciellement au Heavy, offrant un ensemble homogène, riche, varié qui n’a certainement rien à envier aux plus grands du genre. Mais ne vous attardez pas sur la pochette de l’album, évoquant dans les tons verts et mauves ‘flashy’ et d’un goût douteux quelques zombies difformes attirés par un vaisseau spatial perché dans le ciel. Ce genre d’illustration de science-fiction de série B pourrait vous priver d’un bon moment d’écoute. Car c’est bien là un des points forts de cet opus : on prend un foutu pied à l’écouter. Certes, les thrasheux ne réinventent pas le style (NDR : personne ne leur a demandé de le faire d’ailleurs !), mais ils parviennent à insuffler une telle énergie dans leurs compositions que les cervicales ne résistent pas bien longtemps à la saine tentation du headbanging. Après avoir foulé les planches pendant presque trois décennies, le quintet se permet aussi de multiplier les clins d’œil. Comme sur « Fall in Line », un morceau qu’on pourrait qualifier, sans prendre trop de risques, de tribute à King Diamond. A cause de l’ambiance, de la structure de la composition et de la voix haut perchée de Sammy Peleman. Ou encore ce riff d’ouverture, d’inspiration peut-être beaucoup moins volontaire, mais néanmoins similaire, de « None Can Defy », très proche de celui dispensé sur « Freedom », un morceau tiré de l’avant-dernier LP de Channel Zero, « Feed’Em With a Brick ».

« Waves of Annihilation », c’est tout simplement trois quarts d’heure de Thrash incisif qui ne vous lâche pas d’une semelle. Le combo vous balance dans les dents tout son savoir-faire acquis depuis trois décennies. Pas le temps ici de s’ennuyer, les Brugeois vous tiennent en haleine, nourris par un rythme rapide et effréné, des soli en cascade et, sans oublier, car c’est peut-être là un des atouts incontestables du groupe, une voix puissante et aiguë qui n’est pas sans rappeler celle de Rob Halford himself, leader incontesté des légendes de Judas Priest. Pas de doute, « Waves of Annihilation » mérite de devenir une valeur sûre, non seulement pour les fans du genre, qui devraient être conquis dès la première écoute, mais également pour tous les amateurs de musique rapide aux accents old school.

Rafter

Animal Feelings

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Rafter Roberts est un drôle d’animal, dont le parcours est plutôt contradictoire. Impossible, en effet, de déceler une direction claire dans sa nouvelle collection de morceaux aussi hétéroclite que réussie. Succédant au très moyen « Music for Total Chickens », sorti en 2007, « Animal Feelings » constitue le 5ème album de Rafter Roberts. Un artiste friand d’expérimentations. Issu de San Francisco, il est également producteur. Il a signé chez Asthmatic Kitty, la maison de disques de Sufjan Stevens (pour le compte duquel il est également ingénieur du son). Ne se refusant aucune folie, son cœur balance constamment entre Cody Chesnutt, Justin Timberlake, les Jackson 5 et Phoenix, sans avoir peur de faire le grand écart ou de déraper dans le mauvais goût. Auto-tune R&B sur « No Fucking Around » ou basse funk sur « Feels Good », il mélange les genres comme le Beck de la grande époque (flagrant sur des titres comme « Fruit » ou « Feels Good »). Si le mélomane pourrait, dans un premier temps, se perdre dans les dédales de son inspiration, il reviendra rapidement sur terre à l’écoute de l’imparable single « Timeless Form, Formless Time ». Une pépite pop à faire danser les filles dans l’esprit ‘nerd’ de Hot Chip: ‘I’ve never heard this before / ‘Cept for the part where I say / Get your ass out on the floor’. Bercé par ses rythmes africains chaloupés, le très dansant « Paper » s’en tire également haut la main.

Difficile d’accès à première écoute, « Animal Feelings » est une œuvre étrange, inégale et kitsch ; mais captivante et agréable de bout en bout.

 

Aftershave

Ep

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Cette formation française avoue pour influences majeures Nick Cave & the Bad Seeds, Sixteen Horsepower, Sonic Youth, les Stranglers et les Pixies, même si la tendance rock, voire metal semble assez marquée tout au long de cette démo. Une démo quatre titres, dont le morceau d’ouverture mérite une attention particulière. A cause de sa mélodie dynamique qui s’inspire à la fois des Strokes et d´Indochine. Malheureusement, la voix faiblarde et criarde du chanteur gâche quelque peu cette impression première. Tout comme la longueur de la plage. Ce sont d’ailleurs les deux défauts majeurs des compos qui figurent sur ce disque. En outre, les trois derniers fragments semblent calqués dans le même moule. Et en particulier « Generator » et « Several reasons ». Opéré en douceur, le début de chacune de ces chansons épouse une forme de ballade caractéristique chez le défunt Nirvana, avant de glisser progressivement vers un grunge saturé de guitares puissantes, lourdes, très (trop) lourdes. Pas trop cohérent tout ça ; ou alors un peu trop. Ce qui n’empêche pas Aftershave de receler du talent. Un talent qu´il faudra encore laisser mûrir quelque temps, avant qu’il ne puisse s’exprimer pleinement…

After

Endless Lunatic

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Ce n'est pas encore avec cet album que votre serviteur méritera la médaille de vitesse pure. Il date en effet de 2005. Pour ma défense, vous n'avez sans doute pas encore eu le loisir de lire une quelconque chronique consacrée à ce disque, écrite dans la langue de Molière. Et pour cause, ces Polonais n'ont toujours pas déniché de distributeur chez nous. Pourtant, on est en présence d’une production à la fois très réussie et fort attrayante. Signalons d'abord que l'un des membres permanents du groupe, le bassiste Mariusz Ziolkowsk, est aussi un des nouveaux venus chez Quidam 'nouvelle formule'. Et le genre musical d'After évolue justement au confluent de la dernière création de ce groupe et de l'excellent Riverside. De ce dernier, on retrouve la flamboyante sobriété toute émotionnelle. Il faut toutefois préciser qu’After propose une musique, certes souvent mélancolique, mais moins tourmentée et plus pop que Riverside. De Quidam, on retiendra l'élégante sérénité et les mid-tempos très mélodieux. Penser qu’After suit le sillon creusé par Quidam serait toutefois une erreur, puisque cet album est antérieur au « SurRevival » de son compatriote. Assez remarquable, cet opus propose huit très bonnes compositions pop/prog chantées par une voix belle et chaude, arrangées et interprétées de façon magistrale. Quatre d'entre elles pourraient sans complexe accomplir une carrière honorable sur les bonnes ondes FM. Ces chansons sont suivies d'un long instrumental contrasté, rehaussé par l'intervention de deux guests notoires : Jozef Shrzek (SBB) aux claviers et Colin Bass (Camel) à la basse. Production irréprochable ainsi que livret superbe et très complet parachèvent ce petit joyau auquel il ne manque pas grand-chose pour être absolument incontournable.



After All

The vermin breed

Écrit par
Depuis l’enregistrement de leur premier album en 1995, les Brugeois d’After All se sont forgés une solide réputation, au-delà de la scène heavy nationale. Leur musique s’inscrit dans le registre traditionnel du ‘old school métal’ avec une nette tendance pour le trash contemporain, et parfois même le hard core. La formation est composée de Piet Focroul (vocals), Dries Van Damme (guitars), Christophe Depree (guitars), Erwin Casier (bass) et Kevin Strubbe (drums). Pour l’enregistrement de ce très honnête « The vermin Breed », After All a émigré vers Berlin et investi le studio « Spiderhouse », sous la houlette du producteur Harris Johns. Le résultat sonore est excellent ! Les complices de Cowboys and Aliens n’ont rien à envier à certains combos américains du genre. Après avoir tourné en compagnie de Therion, Anathema, Voivod, Anthrax, Life of Agony, Angel Witch etc… After All va sillonner les routes européennes avec Agent Steel, un band eighties dont ils sont très proches musicalement.

After Forever

Invisible Circles

Écrit par
A travers le grandiloquent "Invisibles Circles", les Hollandais d'After Forever s'imposent comme le concurrent direct de leurs compatriotes de Within Temptation et des Finlandais de Nightwish. Plus aboutie, et nettement plus heavy que ses prédécesseurs, la plaque révèle un combo imaginatif, soudé et ouvert au milieu underground comme à un plus large public. Conceptuel, sans être pompeux, le disque aborde des thèmes sérieux et se veut un regard pertinent sur l'évolution de la société. L'influence des médias, la télévision, les ordinateurs et les technologies nouvelles sont au centre du concept d'"Invisible Circles". L'héroïne, une jeune fille tourmentée, souffre de l'absence de ses parents et se réfugie dans son propre monde constitué de jeux vidéo et de communication via Internet. Des titres tels que "Beautiful emptiness" ou "Victim of Choices" sont immédiatement accrocheurs, tandis qu'une bonne partie de l'album nécessite une écoute approfondie avant d'en percevoir toutes les finesses. Les orchestrations grandioses magnifient l'organe vocal lyrique de Floor Janssen, nouvelle déesse du metal gothique. Les guitares sont puissantes à souhait ; et les arrangements sont d'un niveau tel que la comparaison avec un certain Ayreon vient effleurer l'esprit. Du très bel ouvrage ! Nous vous recommanderons toutefois la version digipack limitée de cet opus incontournable, agrémentée d'un livret aux illustrations de toute beauté et d'un DVD superbement ficelé.

After Crying

Show

Écrit par

« Struggle for Life », le précédent Cd d'After Crying, date déjà de 2000. Ce groupe hongrois nous revient avec un excellent 'Show' ; un opus qui ajoute modernité et accessibilité aux qualités habituelles. Les huit talentueux musiciens intègrent de plus en plus de machines sans renoncer à leurs instruments classiques. Synthétiseurs, rythmes programmés et autres échantillonnages côtoient donc trompettes, cors, trombones, violon, violoncelle et grand piano. Les influences sont tout aussi variées. Et pour cause, elles revendiquent l'héritage de King Crimson, ELP et Zappa, empruntent à Dvorak et Ravel, virent au jazz ou au funk, et prennent parfois des airs de soundtrack. Le miracle, c'est que ce concept est très homogène et, de plus, réussi et immédiat. Le nouveau chanteur évoque Rick Davies (Supertramp) en plus clair et moins maniéré, et furtivement Dave Gahan (Depeche Mode). Il est parfois relayé par un narrateur ou Judit et Sofia, aux très belles voix. Les percussions sont très présentes et la production est excellente. Comme d'habitude, After Crying propose une succession de climats, certains lentement distillés, d'autres campés en quelques secondes. La montée en puissance teintée d'angoisse demeure sa marque de fabrique. Les paroles, attaque en règle de l'hégémonie américaine, sont parfois burlesques. L'album est globalement très bon (leur meilleur à ce jour, en fait) épinglant quelques plages incontournables. A aborder en toute confiance!

After Forever

Decipher

Écrit par

Alliant allègrement influences lyriques, classiques, métal et progressives, After Forever vient d'enfanter une deuxième œuvre qui restera à jamais gravée dans l'histoire du métal gothique. Bien sûr, on évolue en terrain connu, et les Therion, Within Temptation ou même Lacrimosa ne sont pas loin ; mais le groupe hollandais s'écarte du conformisme en alternant les ambiances dans une formule superbement maîtrisée. Illuminée par la jolie voix de sa non moins charismatique chanteuse Floor Janssen, la musique des bataves remplit l'auditeur d'émotion ; et la fleur de Hollande sait se muer tantôt en sirène, tantôt en chanteuse soprano d'une très grande classe. Son frère Mark Jansen apparaît gutturalement sur quelques titres. Les mélodies ensorcelantes se font plus fortes encore lorsqu'un quatuor à cordes (violon, violoncelles et alto) intervient pour soutenir cinq choristes. Ambiances orientales, folk et baroques se mêlent aux sonorités heavy, donnant à l'ensemble une impression de puissance aux mélodies qui brillent sans esbroufe et autres interventions pompeuses. Chaque chanson a son orchestration, chaque instrument a un son pour chaque chanson, bref After Forever n'a pas fait dans la facilité. Une initiative à saluer, d'autant plus qu'il s'agit là seulement du deuxième effort du groupe du pays du fromage et des tulipes. Pour les collectionneurs, sachez qu'il existe une version vinyl picture disc pressée à mille exemplaires seulement ! L'objet est absolument sublime, mais il n'y en aura pas pour tout le monde !

Tribe After Tribe

Pearls before swine

Depuis sa fondation en 1983, Tribe After Tribe a toujours véhiculé une image de groupe rebelle. Faut dire que son leader, Robbi Robb est né en Afrique du Sud. Et bien que blanc, il a toujours milité, à travers ses lyrics, contre l'apartheid, tout en dénonçant les crimes perpétrés par ceux qui cautionnaient le système. Un engagement qui n'a certainement pas dû plaire au régime de l'époque, puisque après de multiples pressions, il a préféré émigrer en Californie. Et devinez quelle est la première chose que Robbi a faite en arrivant à Los Angeles? Continuer le combat, bien sûr! Clouant au pilori la CIA lorsqu'il ne s'attaque pas à la mafia de la drogue. Mais toujours avec la volonté de dénoncer les inégalités sociales. Tout ceci sur une musique rock. Tantôt métallique, garage, atmosphérique ou même funk. Mais toujours agitée par des percussions tribales ou enrichie de sonorités orientales. Normal lorsqu'on sait que Robbi a étudié les arts orientaux, et tout particulièrement égyptiens et turcs...

 

After Silence (Belgium)

Willow Tree

Fameux défi pour ces quadragénaires qui viennent de plaquer leur boulot pour remonter un groupe apparu en 72 et dissocié voici quinze ans. Probablement poussés par la nostalgie d'une époque féconde en musique progressive et stimulés par le retour en forme des papys (Robert Plant, Jimmy Page, King Crimson, Yes, Hawkwind, etc.), Colin Burton, Jean-Michel Walravens et Henri Simons ont donc décidé de se consacrer exclusivement à leur passion. La musique. Pour enregistrer leur premier album, ils ont pris le soin de s'entourer de trois autres musiciens. Un claviériste/flûtiste/saxophoniste, un bassiste, et un drummer. Maintenant, n'essayez pas de trouver une quelconque corrélation avec des ensembles comme Ozric Tentacles ou The Orb. After Silence n'a recours à la technologie moderne que pour la production. Excellente par ailleurs. Mais sans parvenir à extraire les compositions d'une certaine autosatisfaction revivaliste. Genesis circa "Foxtrot", Kansas, Supertramp polarisent le jeu de références. Parfois même Bon Jovi ou Scorpions, lorsque la solution s'égare dans le hard FM nombriliste ou mielleux. Néanmoins si vous êtes demeuré un baba cool jusqu'au fond de l'âme, cet After Silence répondra à vos aspirations les plus profondes...