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Les échos intergalactiques de Mr. Bison…

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Evenline

The Coming Life (EP)

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Les médias français ont toujours cette fâcheuse tendance à ne supporter qu’à moitié leurs combos nationaux. Et en particulier dans l’univers du pop, du rock et du metal. Avant de soutenir leurs meilleurs artistes, ils attendent l’aval d’un pays étranger. Pourtant, au sein de l’Hexagone, il existe également des formations d’envergure internationale. Tous n’attendent qu’un seul signal : une opportunité de se faire connaître auprès des médias. Alors, chers confrères d’outre-Quiévrain, nous vous communiquons une info importante : le prochain combo à soutenir, celui qui ne tardera pas à cartonner dans le monde entier s’appelle Evenline ; et il vient tout droit de chez vous !

Evenline s’est formé en septembre 2009 en Ile de France. Son premier Ep, « The Coming Life », est la quintessence du métal moderne. Une voix magnifique : celle d’Aarno. A coup sûr, l’une des plus belles de l’Hexagone dans ce style musical. Elle transcende les compositions qui s’inspirent (et surpassent même par moment) ce que l’on a produit de meilleur de l’autre côté de l’Atlantique, au cours des dernières années.

Malgré sa courte carrière, Evenline n’a pas vraiment grand-chose à envier (si ce n’est la reconnaissance) à tous les Staind, Alter Bridge, Creed, Pearl Jam, Alice In Chains ou Nickelback du monde. C’est bien simple, sur les cinq titres de « The Coming Life », il n’y a pas moins de cinq hits potentiels. Pour un premier Ep, la qualité est absolument irréprochable. Ce mélange de titres heavy et bien chantés et de ballades percutantes rappelle le style des excellents Slovènes de LastDayHere. La seule chose qui manque encore à Evenline, c’est le soutien massif du public ; mais, vu la qualité, cette réaction ne saurait tarder.

« The Coming Life » est disponible en écoute sur la page MySpace du combo  (http://www.myspace.com/evenlinemusic). Si vous êtes de ceux que le rock/métal moderne à l’américaine fait frissonner, ruez vous sur cet Ep !

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Madonagun

Resurrect On The Razor Edge

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Ne vous fiez pas surtout pas au patronyme ! Madonagun n’a pas vraiment l’intention de vous interpréter “Like a Virgin” en version Slash/Axl Rose. Si d’aventure, c’est le nom de la star de la pop qui a attiré votre attention, passez carrément votre chemin, il n’y a rien pour vous dans cette chronique. 

Après cette mise au point, maintenant que nous sommes entre nous, parlons un peu de cette claque –extrêmement plaisante– que nous assène les Parisiens de Madonagun, tout au long de leur bouillonnant MCD quatre titres, intitulé « Resurrect On The Razor Edge ». 

Pour la petite histoire, ce sont deux frangins, D.K (alias Thorgon) et S.G (alias Sagoth), respectivement batteur et bassiste du combo black métal Eternal Majesty qui sont à l’origine de la création de Madonagun. En 2007. Très vite, ils recrutent deux guitaristes : F.X. pour la rythmique et l’excellent Julien Damotte pour la lead. Matt (chant) et Nach (claviers) complètent ce line-up d’enragés hystériques.

Dans notre monde métallique de plus en plus standardisé, Madonagun ose proposer la différence. Pour vous résumer de manière simple ce qui est malgré tout fort complexe, il faut commencer par malaxer quelques références suédoises et fournir un petit effort mental. Imaginez une musique qui emprunterait la violence créative d’un Meshuggah et la dextérité ‘guitaristique’ d’un Mattias IA Eklundh (Freak Kitchen). Vous y êtes ? Je viens d’ébaucher las grandes lignes de cet Ep de Madonagun. Pour compléter ce tableau auditif, il faut encore y ajouter quelques influences progressives et jazz rock, des vocaux hardcore, death et clairs aussi déjantés que malsains et surtout une très impressionnante technique instrumentale. A ce titre, les parties lead époustouflantes de Julien Damotte donnent vraiment envie de se pencher sur sa carrière solo et notamment sur « Trapped », son nouvel elpee.

Dans l’attente de l’album prévu, semble-t-il, pour  la fin de l’année, « Resurrect On The Razor Edge » est la rondelle trouée indispensable pour tous les amateurs de violences musicales raffinées.

 

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Dear Hearts

Tail Lights & Bygones

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Ces petits gars sont des rapides. Dear Hearts se forme en septembre 2009. Son premier essai discographique, « Tail Lights & Bygones », sort en mars 2010. C’est à peine croyable. Sept mois à peine pour composer, répéter, cracher quelques glaviots en concert et enregistrer un Ep 6 titres ; nos quatre keupons sont à coup sur de vrais accros du boulot ! Vous serez aussi surpris d’apprendre, en vous frottant à la qualité quasi-internationale de ces six titres autoproduits, que les zigotos ne viennent pas de Californie, mais qu’ils sont bien de chez nous !

Scheirder (basse & voix), Sammy (guitare), David (guitare aussi) et Wimmie (batterie) avouent êtres passés par l’école de la scène punk californienne : Social Distorsion, Misfits, Agent Orange ou  Bad Religion. Difficile de les contredire sur ce point. Surtout qu’ici, l’élève est surdoué et qu’il n’est pas loin d’atteindre le niveau de ses maîtres.

Après une intro humoristique (un extrait de la chanson « Dear Hearts And Gentle People » du crooner américain Bing Crosby), l’Ep développe dix-sept minutes d’hymnes punks rock énergiques et entraînants. Vu qualité des compos, on se demande si l’ami Fat Mike n’aurait pas intérêt à jeter son oreille percée du côté de la Belgique, dans l’éventualité où il chercherait encore de nouvelles signatures pour Fat Wreck Chords, son label consacré au punk-rock. En attendant, il est d’ore et déjà possible de se procurer « Tail Lights & Bygones » sur la page MySpace du groupe pour la modique somme de sept Euros.

 

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Ben Popp

Empreintes digitales

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Vingt ans. 20 ans déjà que Benjamin chante. Sa carrière, il l’a en effet commencée en 1991. C’est dire s’il est resté discret depuis. Passant de démos aux petites scènes, l’Avignonnais regarde le temps passer sans grands moyens et sans jamais s’inquiéter beaucoup pour sa carrière. Il est vrai que la vie est difficile pour des tas d’artistes maintenus dans l’anonymat, faute de pouvoir se dégoter un producteur digne de ce nom et susceptible de croire en leur étoile.

Mais tout arrive à qui sait attendre. Christian Morfin endosse le rôle de la bonne fée pour Ben, près de 20 après ses débuts. Il lui monte un band de toutes pièces, tel un puzzle. Il emmène dans ses bagages ‘Le 7ème rêveur’ à la batterie et Richard Vecchi aux claviers. Rejoignent le band, quelques amis proches de Ben : Sidonie Richard à la basse, Pierre Walther à la guitare acoustique, Christian Pruneau à l’harmonica, les frères Parmentier aux guitares et ‘The Hippie’, préposé à tout sauf la batterie. Une dizaine de personnes en tout afin de lancer enfin une vraie carrière, d’enregistrer un véritable album.

« Empreintes digitales » est paru début de cette année. Quatorze chansons ‘peuplent’ la réalisation tant espérée. De la pop song bien fraîche, bien faite. Les mélodies sont faciles, accrocheuses, bref agréables. Les textes sont intelligents et actuels. Ils traitent de tas de problèmes qui contaminent notre monde. « Empreintes digitales » porte bien son nom. Chaque chanson est une trace de vie, un passage par lequel est visiblement passé Benjamin ou qui a laissé sur lui une ‘empreinte’… A vous de juger !

 

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Tannhauser

Löven

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Piste 1 : « Night Shop »… intronisation dream-pop immédiate qui se pose sur les nuages vaporeux de l’univers ‘cocteautwinesque’. Fondé en 2007, le jeune quatuor louvaniste nous rappelle sans détour que les mouvements dream-pop et shoegazing brillent actuellement de mille feux. ‘Soukazing’ ingénieusement ordonné autour de Slowdive, My Bloody Valentine, Cocteau Twins et Ride.

Sur ce premier elpee autoproduit, « Tannhauser » (NDR : pseudonyme emprunté au célèbre opéra de Richard Wagner) ne verse nullement dans la créativité artistique mais use plutôt de la richesse de ses influences hermétiques pour bricoler astucieusement un opéra noisy-pop. Empire céleste voûté de guitares fuzz et de synthés rêveurs destiné principalement aux amateurs du genre.     

Du tracklisting, on épinglera tout particulièrement l’onirique, mais également bucolique « A Little Blood » (NDR : un hommage à My Bloody Valentine ?)

Bref, en 10 titres pour 41 minutes, Tannhausser semble avoir trouvé un refuge cotonneux au cœur des antres de la noisy-pop.

Cette nouvelle formation flamande, dont les noms des musiciens méritent un arrêt sur image (NDR : Erick de Deyn –c’est le seul garçon du line up– au chant et à la guitare, Ine Vlassaks aux drums et à la clarinette, Karlien Vermeiren au chant et au synthé ainsi que et Joke Duponcheel à la basse), devrait certainement et très prochainement fouler les  planches des salles de notre plat-pays. A suivre de très près…

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Nutrition

Eye Of The Anunnaki (Ep)

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Du Métal Pour Pas Un Balle…

Musiczine a décidé de vous aider à faire des économies en ces temps de crise.

‘Du métal pour pas un balle’ est une nouvelle rubrique destinée à vous faire découvrir des albums de heavy métal de qualité ainsi que des démos mis à disposition en téléchargement gratuit et tout à fait légal par les artistes eux-mêmes sur leurs sites internet.

Cette rubrique nous emmène souvent dans des pays lointains et exotiques. Pour la circonstance, c’est carrément vers une autre planète que nous nous dirigeons. Jeremy Mauney et Roland La Goy ne sont pas de ce monde. Le vaisseau mère a dû les oublier sur notre terre et en attendant son retour, ils sont très énervés. Pour calmer leur nervosité, ils ont décidé de jouer de la musique. Quoi de plus relaxant que le black métal ?

En 2009, Jeremy Mauney, ex-vocaliste du combo death métal japonais Detrium est de retour dans son Amérique natale. Souhaitant créer une musique alliant ses passions pour la science-fiction et le black métal, il s’associe à Roland La Goy, compositeur de bandes sonores de jeux vidéo et membre unique du projet black métal Inlaid Rust. C’est sous le nom plutôt étrange de Nutrition qu’ils enregistrent en 2009 un premier Ep intitulé « Hyperdimensional Awakening ».  Ce premier effort est suivi début 2010 par « Eye Of The Anunnaki », un second Ep trois titres beaucoup plus abouti où le style assez particulier du groupe se dessine peu à peu. Imaginez un black métal ultra rapide et violent aux vocaux râpeux comme du papier de verre, combiné à des effets de synthétiseurs futuristes. Tout au long d’« Eye Of The Anunnaki », Nutrition se pose en véritable Hawkwind de l’extrême et mène le black métal vers une autre dimension.

« Eye Of The Anunnaki », tout comme le premier Ep « Hyperdimensional Awakening », est disponible en téléchargement gratuit au format mp3/256kbps (NDR : artwork compris), sur la page MySpace du groupe (http://www.myspace.com/nutrition)

Que la force soit avec vous !

Alors, elle n’est pas belle la vie en temps de crise ? Merci Nutrition !

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Guerilla

Kickstart Revolution

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Du Métal Pour Pas Un Balle…

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Les Allemands de Guerrilla vous proposent un deal plutôt intéressant. Ils vous autorisent à  télécharger gratuitement leur tout nouvel album (format mp3/320kbps) via leur page MySpace (http://www.myspace.com/guerrilla666). Cependant, il existe une légère subtilité : tout l’album est à votre disposition, sauf un titre. Pour obtenir l’œuvre dans son intégralité, vous devrez débourser dix euros. Vu la qualité plus que raisonnable de « Kickstart Revolution », le contrat semble correct. C’est en tout cas, une excellente idée de marketing.

Il faut avouer que, sans être révolutionnaire, il est plutôt bon cet album de Guerilla. Originaire de Cologne, le groupe utilise une recette simple et efficace : un flirt entre du bon trash métal et le death métal mélodique à la suédoise ; et plus précisément issu de l’école de Göteborg. Le tout doté d’un esprit (et d’un son) très rock’n’roll. Dès les premières notes d’« Into the mire », on à l’impression d’être en présence d’un rejeton velu et crasseux, né d’une liaison entre Kreator et Dark Tranquility, lors d’une concentration de motards. Entre brutalité et mélodie, l’effet est plutôt sympa et on en reprend volontiers.

Alors, elle n’est pas belle la vie en temps de crise ? Merci Guerrilla !

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Grimmer

A Call For Battle

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Du Métal Pour Pas Un Balle…

Musiczine a décidé de vous aider à faire des économies en ces temps de crise.

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On dispose peu d’infos relatives à ce Grimmer. Une chose est sûre, la formation est suédoise. Pour le reste nous nageons dans l’inconnu. La photo officielle du groupe nous laisse cependant entrevoir leur identité : de (très) jeunes chevelus, épée à la main marchent sur une plage enneigée, une corne fixée à la ceinture. Pas de doute, nous allons nous prendre notre dose de Viking Metal.

« A Call For Battle », le premier effort de ces guerriers venus du froid, est disponible depuis le début février 2010 en téléchargement gratuit sur sa page MySpace (http://www.myspace.com/grimnerswe). D’un simple clic sur l’artwork, vous obtiendrez, outre les 5 fichiers mp3/192kbps, des photos du groupe, la pochette du cd, et les textes des chansons.

Si vous avez apprécié « Elements », l’album de nos compatriotes de Valgard chroniqué récemment dans cette rubrique, il y a de fortes chances que vous appréciiez aussi cet Ep. De toute évidence, les influences des deux formations sont les mêmes : Thyrfing, Mithotyn, Amon Amarth, Einherjer et Bathory. Musicalement, « A Call For Battle » suit les standards du genre : une alternance de vocaux extrêmes et de chant clair, un clavier pour les ambiances folk et des guitares qui distillent des riffs plombés et épiques ainsi que de superbes soli. Rien de bien révolutionnaire, mais un joli début tout de même pour ce groupe prometteur.

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Filacteria

The Rise Of The Lepers

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Dans cette rubrique, nous avons pris l’habitude de voyager. Cette fois, c’est dans l’île de Porto-Rico que nous nous rendons et plus précisément dans la ville de San Sebastian. C’est dans cette ville que sévit Filacteria, un combo plutôt énervé qui avoue être influencé par la musique de Meshuggah, Soilwork, Anthrax, Sevendust, Deftones et Kill Switch Engage. Autant dire qu’aussi bien les amateurs de black métal, de gothique que les fans de rock FM peuvent passer leur chemin.

C’est un album complet comprenant pas moins de onze titres au format mp3/192 kbps que le groupe propose en téléchargement gratuit sur son site officiel (http://www.filacteria.com) et sur sa page MySpace (http://www.myspace.com/filacteria) depuis début janvier 2010. Et, si vous appréciez le trash métal moderne et groovy, truffé de riffs assassins et de vocaux agressifs, pas de doute, « The Rise Of The Lepers » est un disque pour vous. Cependant, Filacteria ne fait pas que dans l’agression pure. Ses compositions à tiroirs, bourrées de rythmiques complexes à la limite du progressif laissent parfois la place à de véritables power ballades chargées d’émotion pure.

Un album très intéressant qu’il est possible de découvrir sans qu’il soit nécessaire d’ouvrir les cordons de la bourse.

Alors, elle n’est pas belle la vie en temps de crise ? Merci Filacteria !

 

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Cruadalach

V Rytmu Stare Krve

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Du Métal Pour Pas Un Balle…

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Cruadalach est un septuor originaire de République Tchèque. Fondé en 2008 par Michal Rak (NDR : célèbre dans son pays pour avoir été le batteur du groupe doom métal Silent Stream Of Godless Elegy), le groupe pratique une musique qu’on pourrait situer à la croisée des chemins d’In Extremo et de Haggard. C’est à dire du métal tapissé de mélodies folks et médiévales jouées sur des instruments traditionnels tels que la cornemuse, les flûtes, le hautbois médiéval, le violon et le violoncelle. Pour faire circuler son nom, le groupe à décidé, début 2010, de proposer sa démo trois titres en téléchargement gratuit sur son site internet officiel (http://www.cruadalach.com) ainsi que sur sa page MySpace (http://www.myspace.com/cruadalach). Le package comprend, outre les trois titres au format mp3/320kbps, le livret complet, quelques photos du groupe et les paroles des chansons.

La musique alterne les passages folks métal festifs bourrés de cornemuse tels que les distille In Extremo et les mélodies métal médiévales, agrémentées de hautbois, de violon et de violoncelle qui font parfois penser à Haggard. Les vocaux, chantés en anglais et en tchèque sont le point faible du groupe, car ils manquent d’énergie ; ce qui nuit un peu à la dynamique de l’ensemble. D’après son site internet, Cruadalach espère décrocher un contrat et sortir un album complet courant 2010. C’est tout le mal qu’on lui souhaite.

Alors, elle n’est pas belle la vie en temps de crise ? Merci Cruadalach !

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