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La Muerte

Puggy

Un excellent concert, mais qui sentait quand même le ‘réchauffé’…

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C’est le retour triomphal de Puggy qui s’était accordé une petite pause de 7 ans pour souffler et avait permis à Matthew Irons de participer au Jury de ‘The Voice’ à 3 reprises ainsi qu’à celui de ‘The Voice Kids’. Mais également à Romain et Egil ‘Ziggy’ de produire les albums d’autres artistes, et notamment de Juicy, Lous And The Yakuza, Yseult, Adé et Angèle (NDR : ce qui n’a pas empêché Matthew d’apporter son concours aux mises en forme). Ils ont également composé plusieurs musiques de films, collaboré avec des orchestres symphoniques et accompagné de nombreuses personnalités sur la voie du succès. Des activités –pour la plupart– opérées au sein de leur studio ‘Radio Kitchen’. Et « Radio Kitchen » est ainsi devenu le titre du dernier Ep qui a enfin ressorti le trio de l’ombre.

L’Ancienne Belgique organise la deuxième édition du KETCLUB, c’est-à-dire, un concert spécialement destiné aux enfants ! Au Botanique et à l’Aéronef de Lille, ce type de spectacle existe depuis belle lurette, mais ils se déroulent l’après-midi. Bref, un vrai show pour les petits… et les grands, mais en version plus courte, tout en prenant soin d’adapter le volume pour protéger les fragiles oreilles. L'idée, c'est de faire découvrir la musique d’une manière amusante et originale, tout en passant un super moment en famille. Ce qui est encore plus sympa, c’est que Puggy a décidé de verser la recette du spectacle à KickCancer, une association qui aide les enfants atteints d’un cancer, mais également soutient la recherche contre cette maladie.

Le concert réservé aux têtes blondes se déroule ce dimanche 29 septembre. Il fait suite à celui accordé la veille, destiné aux aficionados.

Ils ne se sont pas foulés pour la setlist. C’est la même qu’hier sans la nouvelle compo « Murder », qui avait été interprétée en rappel. Coup de mou ? On va vérifier sur place !

Non seulement l’AB affiche complet, mais l’auditoire est composé d’un mix transversal de générations : petits, grands, filles, garçons, enfants, jeunes et adultes âgés. Et pourtant, il est chaud-boulette. Ce qui promet pour le reste de la tournée dont les concerts sont quasi-complets partout.

Le supporting act est assuré par David Numwami. Armé de sa guitare, sa loop machine magique et son ordinateur, il est seul sur les planches pour dispenser sa musique et ses beats sculptés dans les pecus et les basses qu’il chante en français ou en anglais. Il ne tarde pas à ôter sa veste et prend régulièrement des bains de foule, au sein de laquelle il se hisse même sur un fly case pour chanter.

Son melting pot de r’n’b et d’électro pop est à la fois épuré, synthétique et organique, doté de respirations poétiques, de claviers à la fois kawaii et lo-fi, de moult éléments percussifs et de sèche qu’il possède depuis son enfance, cabossée comme il se doit, mais au son qui touche en plein cœur. La foule apprécie et l’applaudit chaleureusement (page ‘Artistes’ ici). 

Place ensuite à Puggy. Comme d’habitude Romain (basse), se plante à gauche, Ziggy (drums, MPD), au milieu et Matthews (chant, guitare), à droite. Les trois musicos se servent également et épisodiquement d’un clavier. D’énormes projecteurs montent ou descendent suivant les circonstances et inondent de lumières, le band et l’auditoire. Parfois ‘PUGGY’, formé par des leds, en lettres capitales, apparaît en grand, derrière les musiciens.

Le set s’ouvre par deux plages issues de l’Ep « Radio Kitchen », « Age Of Wonders » et « Numbers ». Puis enchaîne par une série de ses anciens tubes, dont « When You Know », « To Win The World », « How I Needed You ». Entre le premier couplet et le refrain, Matthew s’interrompt même pour apprendre au public à frapper dans les mains en rythme.

Plus paisible et particulièrement cool, « Simultaneously » constitue le troisième extrait du nouvel Ep. Matt module sa voix alors que Ziggy adopte un ton plus grave. Un délice ! Charles (NDR : elle avait remporté une édition de ‘The Voice’ alors qu’elle figurait dans l’équipe de Matt) débarque pour assurer les chœurs, auprès de Matt et Ziggy, tout au long de « Lost Child ». Pas de trace du dernier morceau de l’Ep, « Sad Enough ». Puggy en revient ensuite à ses veux standards… bien électriques.

En rappel, le combo va nous accorder trois compos donc une cover d’Iliona, « Reste », au cours de laquelle Irons présente l’artiste comme un ami. Et sa voix très soul apporte un plus. Puis un extrait du premier elpee, « Dubois Died Today », « Dubois », avant d’achever la prestation par le premier single de « Radio Kitchen », « Never give up ».

On aurait aimé un peu plus de nouveautés dans la setlist. Il est vrai que le dernier Ep ne compte que 6 pistes. Mais également un peu de variation. Bien sûr, il est chouette de retrouver les anciens hits qui plaisent toujours, mais pour votre serviteur, si le concert était excellent et fort en intensité, il sentait quand même le ‘réchauffé’…

Setlist : « Age Of Wonders », « Numbers », « Give Us What We Want », « Something You Might Like », « Lonely Town », « Simultaneously », « Last Day on Earth (Something Small), « Lost Child » (avec Charles), « How I Needed You », « Insane », « To Win The World », « Teaser », « Change the Colours », « Goes Like This », « When You Know ».

Rappel : « Reste (Iliona cover) (+ Iliona), « Dubois », « Never Give Up »

(Organisation : OD Live Productions SPRL)

 

Glasstrees

Astral pojection (Ep)

Glasstrees c’est le nom d’une jeune formation originaire de Rugby en Grande Bretagne.

Et Rugby est une ville du comté de Warwickshire en Angleterre centrale, bien sûr connue pour son Collège, où le rugby a été inventé dans les années 1820.

Apparemment « Astral Pojection » (sans ‘r’ après le ‘p’, même si le titre maître s’intitule « Astral Projection », allez comprendre…) serait son troisième Ep, des disques enregistrés entre juillet et septembre 2024.

Quelque part entre slowcore et shoegaze, la musique évolue inévitablement sur une rythmique lente, voire mid tempo, et la voix flotte sur des sonorités tour à tour grinçantes ou atmosphériques.

Extrait de cet Ep, « In the waves » est en écoute

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Sun Mahshene

A place we’ve never been

Fondé en 2018, Sun Mahshene est un sextuor réunissant des musiciens issus d'Irlande, du Royaume-Uni et de Pologne.

Son premier elpee, « A place we’ve never been », a été masterisé par Mark Gardener du groupe Ride.

Eclectique et diversifié, son mélange audacieux de rock alternatif, d'électronique ambiante et de shoegaze est balayé par une tempête de guitares acidulées. Une forme de post-shoegaze qui se manifeste par ses mélodies mémorables et ses paroles perspicaces. D’ailleurs, le titre de l’album, « A Place We've Never Been », est particulièrement bien choisi, car sur le plan thématique, il associe des caractéristiques lyriques telles que l'évasion, les rêves et l'insatisfaction de la vie moderne face la résilience et la persévérance.

Enfin, en ‘live’, la formation jouit d’une solide réputation…

Extrait de l’album, « New shores » est en écoute ici 

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Softsun

Unholy Waters (single)

Écrit par

Fondé en 2023, SoftSun est un trio réunissant le guitariste Gary Arce (Yawning Man, Fatso Jetson), la chanteuse/bassiste Pia Isaksen (Pia Isa) et le drummer Dan Joeright (Earth Moon Earth).

Pia a grandi en Norvège, alors que Gary Arce et Dan sont établis dans le désert de Mojave, en Californie du Sud.

Son premier opus, « Daylight in the Dark », sort ce 8 novembre. Et le single qui le précède, « Unholy Waters », donne une petite idée du style pratiqué, qui navigue quelque part entre dronegaze et post-rock. La ‘lyric’ vidéo est disponible ici

Leurs environnements influent manifestement sur leur musique. Ainsi, les sonorités cinématiques et oniriques de la guitare d'Arce accentuent le contraste entre la lourdeur de la musique et son profil mélodique, d’autant plus que c’est la basse qui balise l’ensemble. Enfin, éthérée, la voix de Pia lévite un peu à la manière d’Elizabeth Frazer, chez Cocteau Twins.

Softsun : « Unholy waters » …

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sadplanet

Heroine (single)

Fondé en 2023, sadplanet est un quintet londonien réunissant Kyra Ho (chant), Nick Rainey (guitare), Aiden Knowles (guitare), Jeff Baker (batterie) et Dan Lawrence (basse).

En superposant des sonorités de guitares oniriques, des synthés tourbillonnants et des harmonies vocales douces sur une solide section rythmique et grâce à son refrain accrocheur, « heroine » constitue un excellent exemple des frontières expansives des genres shoegaze/dream pop, et de la manière dont ils peuvent être repoussés.

Chatoyant et multidimensionnel ce titre met en exergue un mélange unique de shoegaze et de dream-pop avec des éléments indie et électroniques.

Enfin, il a été co-produit par Dominic Freeman et Ben Easton, mixé par Ben Easton, et masterisé par le légendaire vétéran du shoegaze Simon Scott de Slowdive,

Le clip consacré à « heroine » est disponible

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Casino Garden

Pretend (single)

Originaire de Wuppertal, en Allemagne, Casino Garden a été fondé en 2017. Un quatuor réunissant le chanteur/guitariste Matthias Wiercinski, la claviériste Helene Ballke, le bassiste Oliver Kroker et le batteur Jonas Schoelen, qui a remplacé le membre originel, Alexander Alaimo Di Loro. A son actif trois elpees, « Slide » (2018 – paru sur cassette), « Get Your Shit Together » (2019) et « Oliver Oliver » (2021). Un quatrième album, intitulé « Transition », sortira ce 8 novembre 2024. En attendant, il a publié un single, « Pretend », qui figurera sur la futur long playing. 

La musique de Casino Garden est le fruit d’un cocktail entre shoegaze, post rock et rock alternatif ; et le tout est agrémenté d’une touche pop

L’intro instrumentale dynamique et entraînante de « Pretend » débouche sur un couplet accrocheur à la douceur mélancolique. Le son est granuleux et la structure à voix basse rappelle le grunge des 90’s…

Le clip consacré à « Pretend » est à voir et écouter ici

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Seventh Dose

Allure (single)

Très peu d’information au sujet de cette formation torontoise qui, avant d’opter pour le patronyme Seventh Dose, répondait à celui de Gleue. Ce changement de nom a également entraîné une refonte du line up. 

Après avoir sorti l’Ep « Delirium », en novembre 2023, dont la première plage, « Drift », constitue un hommage à un des amis du bassiste/chanteur Casper Ostanski, trop tôt disparu, le groupe vient de publier un nouveau single, « Allure »

A l’instar des 4 compos de l’Ep, ce morceau baigne dans une forme de shoegaze bien électrique…

Tous ces titres sont écoute sur le Bandcamp du quatuor, réseau social que vous retrouverez aisément via le cadre ‘Informations complémentaires’, en bas de la page.

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Itches (Belgium)

Two flies in one clap

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D’après les articles récoltés sur le net, la Campine serait devenue fertile en groupes de garage/rock. Itches en est un nouvel exemple. Un trio drivé par Philippe Peeters. Il a composé et enregistré ses démos pendant la pandémie. Chanteur/guitariste, il s’est servi de sa guitare pour reproduire la ligne de basse en l’accordant plus bas…

Et pour la batterie, il a martelé un seau avec un tournevis.

A l’issue du confinement, il s’est adjoint deux musicos : un bassiste et un drummer. « Two flies in one clap » constitue le premier elpee du trio et tuer deux mouches en un clappement de mains, c’est tout à fait possible. Une condition, c’est qu’elles soient proches.

La musique d’Itches pourrait facilement naître du fruit d’un cocktail entre rock, garage, surf, punk primal, lo-fi et pop sixties.

Dans certains refrains, il y a des ‘ooh-ooh’, dans d’autres des ‘lalalala’, un peu comme à l’époque des Faces et des Kinks.

Enfin si certaines paroles caricaturales sont susceptibles de rappeler les Ramones, les références sont plutôt à chercher du côté de Ty Segall, des Black Lips, de Jay Retard et de Jacuzzi Boys

Enfin, caractérisé par ses chœurs paradoxalement drôles et effrayants à la fois, « Level 25 » constitue probablement le morceau le plus pop de l’opus. Il est en écoute ici

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Joe Jackson

La machine à remonter le temps de Joe Jackson…

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Le Cirque Royal est blindé pour le concert de Joe Jackson qui est en pleine tournée ‘Two Rounds Of Racket’. « What a racket » (Mr. Joe Jackson Presents Max Champion in 'What a Racket !' », c’est d’ailleurs le titre de son dernier opus, paru en novembre 2023 

Pas de première partie, c’est Joe Jackson qui s’en charge. En mode piano/voix. Au cours de ce premier acte, il va nous proposer 11 morceaux dont 8 versions de ses plus grands succès et 3 reprises de titres signés The Kinks, Harry Fragson (*) et enfin Albert Chevalier (**)

Le rideau rouge est fermé et Joe Jackson débarque en costard bleu/violet sur chemise blanche. Il s’installe en avant-scène et est déjà chaleureusement applaudi, avant même d’entamer son récital. Le public est suspendu à ses lèvres. L’artiste ouvre hostilités par « Dave », une plage issue de son elpee paru en 2019, « Fool ». Il enchaîne par « Take It Like A Man » (Volume 4 ». Manifestement, il remonte le temps. Chaque chanson interprétée est plus ancienne que la précédente. « Stranger Than Fiction » (« Laughter and Lust ») nous replonge dans les 90’s et « Real Men » ainsi que « Steppin' Out », extrait de son disque phare paru en 1982, « Night and Day », dans les 80’s. Et sa version cool et originale de cette compo de power pop aux influences jazz fait mouche auprès de l’auditoire. Votre serviteur en a des frissons partout.

En deux temps trois mouvements, Joe revient aux 70’s, épinglant des compos tirées de son second long playing gravé en 1979, « I'm the Man ». Mais, et c’est remarquable, Joe exprime son envie de continuer à se servir de sa ‘time machine’, bien que nous ayons atteint, alors, les premiers jours de sa production enregistrée. Il retourne dès lors aux sixties à travers sa cover très bien accueillie de « Waterloo Sunset » des Kinks, racontant une histoire sur la façon dont il se rendait souvent à la gare de Waterloo à Londres lorsqu'il était enfant. De mieux en mieux ! Le coup d’œil dans le rétroviseur de Joe passe alors par le cinéma, s’inspirant de sa contribution au film de 2005, « The Greatest Game Ever Played », où il apparaît dans le rôle d’un pianiste, en 1913. On imagine alors les rouages tourner dans l'esprit du musicien ingénieux alors que les fils commencent à s'entrelacer. Joe adapte le comique « Hello, Hello, Who's Your Lady Friend ? », attribué à Harry Fragson, une chanson entraînante de cette période qui s’est muée en hymne de marche populaire pendant la Première Guerre mondiale ; mais elle est surtout interprétée par Jackson avec beaucoup d’humour. Il abrège cependant les couplets les plus coquins et n’en conserve que deux ou trois. De toute évidence, le public aurait aimé une interprétation intégrale de ce morceau.

Zappant l’entracte, Joe ouvre le rideau de la scène pour nous accorder un set à l'ancienne, du style ‘London Town’ (période victorienne), mais sous une configuration DeLorean du professeur Emmett Brown dans la série ‘Retour Vers le Futur’. Et soudain apparait un groupe de 10 musiciens.

Opérant comme directeur musical, Daniel Mintseris prend la place de Joe aux ivoires qui s’installe au centre du podium. Doug Yowell (batterie), Richard Hammond (contrebasse), Susan Aquila (violon), Lourdes (Lou) Rosales (alto), Ricky Roshell (flûte, piccolo), Christa Van Alstine (clarinette, clarinette basse), Jackie Coleman (trompette) et Sam Kulik (trombone et tuba) complètent le line up. 

Habillés de costumes d’époque, les musicos procurent style et savoir-faire à ce spectacle de style ‘music-hall’ anglais du début du XXème siècle. Talentueux, ils apportent couleur et vitalité à cette partie de concert constituée de neuf morceaux entièrement revisités par Jackson, qui s’est ouverte par « What a Racket ! », le titre maître du concept album, et s’est achevée par « The Sporting Life » de Max Champion, une ode amusante à l'abandon du sport. D’ailleurs, lorsque le public ne danse pas sur place, il rit de l'inventivité et de l'humour de Joe.

Au grand complet, la formation accorde un rappel de deux titres, dont le morceau phare « Is She Really Going Out with Him », issu du premier album de Joe, datant de 1979, « Look Sharp ! », et « Worse Things Happen At Sea », une autre composition futée de Max Champion (***). Mais certains micros sont tombés sur les planches, un problème technique qui va retarder cette interprétation. Néanmoins, fidèle, la foule attend patiemment que tout rentre dans l’ordre, afin de profiter au max de tout ce que Joe pourrait lui réserver…

Photos Vincent Dufrane ici

Setlist : Partie 1 - En solo piano/voix (45 minutes) : « Dave », « Take It Like A Man » (Joe Jackson Band song), « Stranger Than Fiction », « You    Can't Get What You Want (Till You Now What You Want) », « Real Men », « Steppin' Out », « It's Different For Girls », « On Your Radio », « Waterloo Sunset » (The Kinks cover), « Hello, Hello, Who's Your Lady Friend ? » (Harry Fragson cover), « My Old Dutch » (Albert Chevalier cover).

Setlist : Partie 2 - The Music of Max Champion : « (Ouverture) : Why, Why, Why ? », « What A Racket ! », « The Bishop And The Actress », « Health & Safety », « Think of the Show ! - A Thespian's Lament », « Dear Old Mum - A London-Irish Lament », « Monty Mundy (Is Maltese) ! », « Never So Nice in the Morning », » The Sporting Life »

Rappel : « Is She Really Going Out With Him ? », « Worse Things Happen At Sea »

(*) Léon Philippe Pot, dit Harry Fragson, né à Soho (Londres) le 2 juillet 1869 et mort à Paris 10e le 30 décembre 1913, est un auteur-compositeur-interprète belge qui a connu le succès tant en langue française qu’anglaise.

(**) Albert Chevalier (souvent cité comme Albert Onésime Britannicus Gwathveoyd Louis Chevalier) ; (21 mars 1861 – 10 juillet 1923), était un comédien de music-hall, chanteur et acteur de théâtre musical anglais. Il s’était spécialisé dans l'humour cockney basé sur la vie de marchand de rue à Londres à l'époque victorienne. Vu ses aptitudes et sa capacité à écrire des chansons, il est devenu connu de son public comme le ‘lauréat des marchands de rue’.

(***) Max Champion est un chanteur de Music-Hall de l’époque victorienne qui a connu un certain succès, dans le Londres profond, avant la guerre 14-18). Il aurait enregistré vers 1911-1913, selon certaines ources. Le personnage a été perdu, probablement tué pendant la Première Guerre mondiale, et sa musique a été ‘oubliée’ jusqu'à ce que Joe dépoussière la partition et enregistre son ‘hommage’.

(Organisation : Live Nation)

 

XO

Spirit looking out (Ep)

« Spirit Looking Out » constitue le troisième Ep de XO, un duo originaire de Portland, réunissant les frères jumeaux Jake et Jeff Turner. Cette sortie servirait de période de transition pour les frangins, tout en révélant l'évolution de leur musique. Profondément personnel, ce voyage sonore capturé à travers leur musique invite les auditeurs à explorer les émotions complexes tissées dans chaque piste.

Et en mélangeant des éléments de shoegaze, emo, slowcore et de dream pop, il crée une expérience sonore captivante.

Issu de cet Ep, « Falling » est disponible sous forme de clip vidéo ici

Podcast # 51 émission Inaudible (cliquez sur le logo ci-dessous)

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